Citation d'Edward Albee sur Histoires, Connais et Adore

Les souvenirs sont les meilleures choses de la vie, je pense.

Je connais maintenant la définition de la guerre : la guerre, c'est la mort des autres. On ne la laisse durer que parce que ce sont les autres qui la font et qui en meurent.

Plus je connais le monde et moins j'en suis satisfaite.

Je suis très réaliste. Je connais mes limites.

La renommée est une perle pour laquelle beaucoup plongent et que seuls quelques-uns évoquent. Même quand ils le font, ce n'est pas parfait, et ils soupirent pour plus, et perdent de meilleures choses en luttant pour eux.

Les pires histoires sont des histoires de famille.

La sagesse et la dignité sont les meilleures richesses de l'être humain.

J'ai réfléchi à ce que tu m'avais dit l'autre jour, à propos de ma peinture ; j'ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j'ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je [...] ► Lire la suite

Tant que les lions n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse ne pourront que chanter la gloire du chasseur.

Ils se passionnent ces vieux pour des bricoles, un quart de rouge, quelques mégots... ils se chamaillent, se filent des coups de canne, à ce qu'il paraît, pour des histoires encore d'amour puisque c'est mixte l'établissement.

Ce que tout le monde connait c'est ce que je ne connais pas, mais ce que je connais, tout le monde ne connait pas.

J'en connais qui mériteraient d'aller en prison, pire, j'en connais qui mériteraient que j'aille en prison.

Le meilleur âge pour se marier c'est 23 ans, parce que tu connais ton mari depuis au moins 10 ans.

Les histoires de cercueils C'est triste et pas joli.

Je connais par bonheur
Un passeur de lumière
Amoureux des étoiles
Et curieux de la Terre
Emporté par son rêve
A des années lumières
Un jour il est parti
Jusqu'au soleil du désert
Pour suivre une comète
Qui lui faisait de l'oeil
A travers sa lunette...

Je connais des gens heureux qui ont l'air tristes et des gens malheureux qui plaisantent toujours. L'humour est un antalgique, on l'utilise quand on a mal.

- Est-ce que les histoires que vous racontez ne vous empêchent pas de dormir ? - Si, mais comme ce sont des histoires à dormir debout, je récupère !

Je ne connais pas d'autres marques de supériorité que la bonté.

Parfois, de bonnes choses se brisent, alors de meilleures choses pourraient venir aussitôt.

Chère Karen,



Si tu lis cette lettre, ça veut dire que j'ai finalement eu le courage de la poster et c'est tant mieux pour moi. Tu ne me connais pas très bien mais une fois lancé j'ai tendance à [...] ► Lire la suite

C'est un ami dont je ne connais pas le nom, et je le connais depuis trop longtemps pour lui demander.

- C'est quoi ce bordel avec l'amour là ? Comment ça se fait qu'on devient dingue à ce point ? T'imagine le temps qu'on passe à s'prendre la tête la-dessus ?

Quand t'es seule tu te plains: est-ce que je vais trouver quelqu'un ? [...] ► Lire la suite

Le monde a deux histoires : l'histoire de ses actes, celle que l'on grave dans le bronze, et l'histoire de ses pensées....

Je ne poserais plus de questions, il n'y a plus de questions, je n'en connais plus. Elle sort de moi (cette voix), elle me remplit, elle clame contre mes murs, elle n'est pas la mienne, je ne peux pas l'arrêter, [...] ► Lire la suite

Tu connais la différence entre l'amour et l'herpès ? L'herpès dure toute la vie.

Si je connais, c'est une pub ! Pour du café non ?

[...]

Oyez, oyez parmandas, on m'attend au château de Vaux-le-Viconte je dois y conduire des menestrelles ! Oui je suis bon chevalier !

[...]

Ah non c'est chelou, c'est des gens qui [...] ► Lire la suite

Quand est-ce qu'on peut faire ce dont on a envie sans faire mal ? Je n'ai jamais été libre, alors je ne connais pas cet état.

Je connais une belle-mère qui couche avec ses lunettes pour mieux voir souffrir son gendre dans ses rêves.

C'est comme les cochonneries, les histoires de bravoure, elles plaisent toujours à tous les militaires de tous les pays.

Nos histoires peuvent être singulières, mais notre destination est commune.