Citation de William Blake sur Monde, Fleur et Voir

Il fut un temps où rien n'était éteint Où seul l'or de mon coeur donnait l'heure Et alors j'étais fort, mais j'ai perdu la fleur et l'innocence Dans ce décor je me sens perdu, rien n'a plus de sens Mais j'ai encore quelques rêves et si tant est que j'aie

Le mystère est la fleur de Dieu que nous sentons.

Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de [...] ► Lire la suite

Avec une noix, un grain de raisin et un couteau, il y en a pour travailler vingt ans en changeant seulement son couteau de place.

Parler au niais ou perdre son temps avec le sot, c'est jeter de la fleur de froment au pourceau.

La mer a partout la même vois grondeuse, grave, solennelle. Nos rivières chantent, murmurent, babillent, et elles ont toutes un accent différent.

La mer la plus profonde a un fond, la montagne la plus haute a une cime.

Cinquante ans, âge où vivent bien des rêves, âge qui est encore, sinon la fleur de l'âge, l'âge des fleurs.

Beaucoup de grains de sable réunis, ça finit par faire un gros tas de sable. Beaucoup de petites intelligences rassemblées, ça ne fera jamais un gros tas d'intelligence.

Je me rappelle les cartes de la Terre sainte. En couleur. Très jolies. La mer Morte était bleu pâle. J'avais soif rien qu'en la regardant.

L'homme est à la femme ce que le galet est à la mer : éternellement roulé.

La mer profonde peut être sondée. Mais qui peut vraiment connaître le coeur de l'homme ?

Le bonheur est l'art de faire un bouquet avec les fleurs qui sont à notre portée.

Quelle belle fleur que le laurier-rose, et le laurier-rose est amer !

Un geste tendre a la délicatesse d'un pétale de rose.

Je suis en partance, comme Colomb, pour l'exploration de la Mer ténébreuse, avec la certitude de l'existence d'un monde à découvrir et la crainte de révolter, à moitié chemin, cinquante passions imbéciles.

Alors Corail ! Quand tu disais que tu voulais la vue sur la mer tu t'attendais pas a avoir l'océan sous ton balcon ! Hein ?!

L'homme pur qui réside dans ce monde si corrompu doit être semblable à la fleur du nénuphar, qui ne contracte pas de souillure au milieu d'une eau bourbeuse.

Comme quoi, une femme sans amour c'est comme une fleur sans soleil, ça dépérit...

Le grain de folie fait chanter toute la sagesse.

L'enfance est indigente, chimérique, indéchiffrable. Elle est un mystère simple et respectable. Elle est à l'image du grain qui éclate. Elle est violente.

Soyez donc fleur bleue... Vous vous faites cueillir !

Elle avait de grands yeux, vifs, clairs, humides et brillants, et sa carnation naturelle laissait deviner à fleur de peau la jeune vigueur des battements de son coeur.

Les eaux ont beau couler dans tous les sens le sable restera toujours au fond.

Toute l'eau de la rugueuse et vulgaire mer ne saurait laver l'huile sainte d'un roi oint.

Le divin est partout, même dans un grain de sable ; là je l'ai représenté dans les roseaux.

La plus belle de toutes les fleurs est la fleur de la liberté.

Il est des portes sur la mer que l'on ouvre avec des mots.

Homme libre, toujours tu chériras la mer !

On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser. On l'arrose et on la regarde grandir... patiemment.