Citation de Nicolas Boileau sur Force, Lire et Livre

Le suicide, c'est l'ultime expression de la liberté. De savoir que l'on peut choisir sa mort, ça aide à vivre.

Puisque nous disons de notre épouse légitime qu'elle est notre moitié, nous devrions avoir le droit de nous marier deux fois pour savoir au moins ce qu'est une femme entière.

Aimer écrire est la qualité la plus précieuse chez ceux qui visent à devenir écrivains.

Savoir dissimuler est le savoir des rois.

A l'entrée d'un millénaire notre savoir et nos connaissances accrus n'ont fait qu'augmenter l'opacité d'un monde, qui tapi, derrière ses secrets, s'est de lui-même réenchanté.

A force de lire, j'ai des livres de poche sous les yeux !

Quel ravage un être peut causer par la seule force de sa séduction.

Quand on n'a pas su vivre, on doit encore moins savoir mourir.

Admettre l'art de vivre des autres n'est pas donné à tous les peuples, ou en tout cas à tous les chefs que les peuples se donnent. Savoir l'admettre, le reconnaitre, décider parfois de s'en inspirer, c'est déjà tout un art de vivre.

Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement.

La joie est en tout ; il faut savoir l'extraire.

Tu établis des rapports heureux entre les peuples en les rapprochant dans le culte de la force contrôlée, organisée et maîtresse d'elle.

La faiblesse humaine est de désirer savoir ce qu'on ne veut pas savoir.

Ce qui me terrifie le plus chez les vieux c'est de savoir qu'un jour j'en serai un.

Finkielkraut, on le sent engagé avec une sincérité et une force que je trouve assez admirables et vis à vis de laquelle (sic) j'éprouve des sentiments quasiment fraternels.

Et tu t'es déjà bien assez dépensé, pour le moment, détends-toi à présent, repose-toi, je ne t'embêterai plus, à moins d'y être acculée, simplement te savoir là à portée de voix et sait-on jamais sur le demi-qui-vive, c'est pour moi... c'est mon coin d'azur.

Ailleurs, on n'a pas à savoir comment la pierre tombe, mais ce qu'en dit Aristote. Les yeux n'y servent qu'à lire. A quoi bon de nouvelles lois qui décrivent comment les corps tombent, si seules importent les lois qui prescrivent comment tomber à genoux.

La tâche suprême est d'organiser et d'unir les gens pour que leur colère devienne une force transformatrice

Acheter un chemisier et une jupe assortis dans le même magasin est un crime. Un savant mélange de chic et de bon marché touche le gros lot. Savoir comment mélanger les styles et les étiquettes.

Je suis un peu le type de personne long-courrier. J'ai aussi une forte éthique de travail et de la gratitude pour les personnes avec qui je travaille.

Notre savoir consiste en grande partie à "croire savoir ", et à croire que d'autres savent.

Aimer à perdre la raison, aimer à n'en savoir que dire, à n'avoir que toi d'horizon, et ne connaître de saisons, que par la douleur du partir, aimer à perdre la raison.

Je ne suis pas raciste, la preuve : je n'hésite pas à écrire noir sur blanc mes pensées.

La paresse séduit, le travail satisfait.

Il y a le cadeau, il y a l'esprit, et il y a le travail - tous les trois doivent se réunir. Si l'une de ces choses est manquante, cela peut vous empêcher de devenir ce que vous étiez censé être.

Le travail humain ! c'est l'explosion qui éclaire mon abîme de temps en temps.

Dans la bonne société anglaise, le talent plus le utile est de savoir bâiller la bouche fermée.

La République, qui joue sa légitimité dans les confrontations, a une préoccupation centrale : bannir la force mortelle.

La patience est un arbre dont la racine est amère, et dont les fruits sont très doux.

Il ne suffit pas du tout à l'homme de savoir si Dieu est. Il veut savoir s'il est quelqu'un et s'il répond.