Citation de Maurice Barrès sur Soleil, Chacun et Automne

La mère qui aime son enfant si fort, qu'elle l'empêche de devenir adulte ; la « mère castratrice » de Freud ; la « mère arachne » d'Otto Rank, à l'affût au centre de sa toile ; la Genitrix » [...] ► Lire la suite

Vous ne pouvez pas pleurer sur l'épaule d'un diamant et les diamants ne vous tiendront pas chaud la nuit, mais ils sont vraiment amusants quand le soleil brille.

Avec tout ce que je sais, on pourrait faire un livre... il est vrai qu'avec tout ce que je ne sais pas, on pourrait faire une bibliothèque.

Une lumière ici nécessitait une ombre là.

La seule chose que je vous certifie, c'est que les gens sont prêts à tout pour survivre. Tout ce que je veux c'est vivre. Quoi qu'il en coûte.

La coïncidence d'un affaiblissement avec un agrandissement, tout homme a pu l'observer en soi.

Il nous arrive à la fois des événements drôles, curieux, angoissants, voulus ou non. Chacun d'eux est une maille, mailles qui formeront la chaîne longue ou courte de notre vie.

C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut.

Grâce à ses prélèvements et à ses transferts économiques, l'instance sociale (c'est-à-dire l'ordre établi) se donne le bénéfice psychologique de la générosité, se donne comme instance secourable. Tout un lexique maternel, protectionniste désigne ces institutions : Sécurité sociale, assurances, protection de l'enfance, de la vieillesse, allocations chômage.

Être un acteur est la chose la plus solitaire au monde. Vous êtes tout seul avec votre concentration et votre imagination, et c'est tout ce que vous avez.

Vouloir oublier quelqu'un, c'est y penser tout le temps.

Le sens de la vie, c'est ce qui reste quand on se débarrasse de tout ce qui est absurde.

Il en est d'un lendemain de mariage comme de celui d'un enterrement ; après la cérémonie, chacun s'en retourne à son travail en se disant : je suis content que ce soit fini.

Le théâtre n'est pas chargé de représenter la psychologie, mais les passions, c'est tout autre chose.

Bénie soit la providence qui a donné à chacun un joujou : la poupée de l'enfant à la femme, la femme à l'homme, et l'homme au diable.

Imagine que tu oses et que tout se passe bien.

- Mais je fais tout ce que je peux !

- Tout ce que tu peux c'est pas suffisant.

Chère Karen,



Si tu lis cette lettre, ça veut dire que j'ai finalement eu le courage de la poster et c'est tant mieux pour moi. Tu ne me connais pas très bien mais une fois lancé j'ai tendance à [...] ► Lire la suite

Il existe un effet de vague dans tout ce que nous faisons... Ce que tu fais me touche ; ce que je fais te touche.

Les douces courbes innombrables qui font d'un corps de femme, pour l'homme qui en est amoureux, un paysage qu'il n'en finit pas de découvrir et que chaque mouvement rend nouveau comme au jour de la création.

A vingt ans, la femme n'a pas les yeux dans sa poche. A quarante ans, elle a les yeux dans vos poches. A soixante ans, elle a des poches sous les yeux.

Quand on a raison vingt-quatre heures avant tout le monde on passe pour un fou pendant vingt-quatre heures.

J'ai entendu une blague un jour : un homme va chez le toubib, dit qu'il est déprimé, la vie lui parait dure et cruelle. Il dit qu'il se sent tout seul dans un monde menaçant. Le toubib dit : « [...] ► Lire la suite

Le bonheur, à vrai dire, est toute la sagesse, Et rêver est tout le bonheur.

On demande pardon quand tout est gâché et que cette absolution tardive ne peut plus rien réparer.

En Dauphiné, le soleil se lève deux fois.

On ne peut pas gagner tout le temps. On trouve toujours autour de soi des gens meilleurs.

Même la nuit la plus sombre se terminera et le soleil se lèvera.

Quand la violence s'installe dans un couple, la vie en commun n'est plus possible ; tout le reste n'est que rafistolage et mensonge à soi. Divorcer, alors, est la seule solution.

Quand vous verrez la lumière au bout du tunnel, priez pour que ce ne soit pas le train.