Citation de Michel Berger sur Énergie, Vagues et Noir

Fumer la pipe dispense de penser.

Il faut partir ou bien rester, cela revient au même gris. Je t'écris ça ce soir avec cette envie de mourir, la fatigue si longue ; le chagrin seul me tient ici, brûlure au creux de la poitrine.

Bienheureux celui, qui ayant appris à triompher de toutes les passions, met son énergie dans l'accomplissement des tâches qu'imposent la vie sans s'inquiéter du résultat.

Dieu est un fumeur de havanes C'est lui-même qui m'a dit Que la fumée envoie au paradis.

Et l'espace devenait une simple écume probabiliste en effervescence piquetée de trous de ver.

La fumée étouffe le feu, et les mauvaises paroles l'amitié.

Tout comme l'océan a des vagues ou le soleil a des rayons, le propre rayonnement de l'esprit est ses pensées et ses émotions.

Il n'y a pas de pipe qui vaille celle que l'on fume après une bonne journée de marche.

La modernité est sans doute le mot le plus creux de la langue française.

Capitaine de tous les bateaux de la mer, je taillai la route avec cette putain de boule au creux du ventre. Ne pas être aimé ! J'en voulais pas de cette vie sans trace ! J'ai appelé la mort plus tard. Elle voulait rien savoir. Malgré la came, l'alcool. Elle ne voulait pas de moi.

Quelqu'un habitait là pourtant. Une petite fumée bleuâtre, montant de la cheminée de brique qui dépassait un peu le mur, trahissait une existence cachée, discrète et triste, comme la fumée de ce feu de pauvre.

Il faut confronter des idées vagues avec des images claires.

Mendier. Demander quelque chose avec une énergie proportionnelle à la certitude de ne rien recevoir.

À cinq heures du matin dans une rue neuve et vide j'entends le bruit d'une voiture qui s'éloigne.
Un avertisseur d'incendie a sa glace brisée et les débris de verre resplendissent dans le ruisseau.

Sur le pavé il y a une flaque [...] ► Lire la suite

Dans ma pipe je brûlerai mes souvenirs d'enfance, Mes rêves inachevés, mes restes d'espérance.

Les mots sont un substitut assez flou aux équations mathématiques.

Je porte de nouveau au creux de ma poitrine un vide dévorant que seule comble la chaleur de ton corps contre le mien.

Tout le discours politique est fondé sur cette opposition entre ventre creux et ventres dorés.

Quel mortel, quel être doué de la faculté de sentir, ne préfère pas au jour fatigant la douce lumière de la nuit avec ses couleurs, ses rayons, ses vagues flottantes qui se répandent partout.

Les sentiments, c'est comme la petite fumée qui sort de la bouche lorsqu'il fait froid, eux seuls prouvent qu'on est vivant.

Les journaux, c'est comme la fumée devant un terrier, ça fait sortir la bête.

Je remercie Dieu d'être un produit de mes parents.Ils m'ont transmis leur intelligence et leur énergie pour la vie, avec leur soif de connaissance et d'amour. Je suis reconnaissante de savoir d'où je viens.

D'ou je tiens mon énergie ? EDF (Envie, Desir et Force).

J'ouvre ici une parenthèse, complètement inutile d'ailleurs, pour déclarer que le téléphone est une de mes haines. Je prétends qu'il est immoral de se parler de si loin, et que l'instrument susdit est une mécanique infernale.

La mécanique quantique a expliqué toute la chimie et la majeure partie de la physique.

L'amour est une fumée faite avec la fumée des soupirs.

Ce n'est ni sur de la plume ni sous des couvertures qu'on parvient à la gloire. Qui sans elle conserve sa vie laisse sur la terre pareil vestige de soi que fumée dans l'air et écume dans l'eau.

Pour toi la terre répand l'odeur de ses fleurs, pour toi rient les vagues de la mer.

C'est là, ça vous ensommeille au creux des reins, le mal de vivre qu'il faut bien vivre vaille que vivre.

Je ne bois plus d'alcool, je fais plus de sport et j'ai deux petites filles qui me donnent une énergie incroyable.