Citation de Joan Baez sur Vivre, Mourir et Comment

Entre deux mots, il faut choisir le pire.

L'important pour un homme politique est de vivre assez vieux pour inspirer confiance, avoir eu le temps de se faire appeler, remercier, déboulonner puis panthéoniser... Après quoi on donne votre nom à une rue, ce qui n'est qu'une manière de vous y jeter.

La réflexion est une sotte habitude humaine, le fruit d'une conscience coupable. La liberté animale consiste à vivre l'instant présent.

La société se compose de deux grandes classes, ceux qui ont plus de dîners que d'appétit, et ceux qui ont plus d'appétit que de dîners.

Pendant que nous dormons, la reine des volontés, au collier d'étoiles éteintes, se mêle de choisir la couleur du temps.

Admettre l'art de vivre des autres n'est pas donné à tous les peuples, ou en tout cas à tous les chefs que les peuples se donnent. Savoir l'admettre, le reconnaitre, décider parfois de s'en inspirer, c'est déjà tout un art de vivre.

Nous ne pouvons choisir les circonstances extérieures, mais nous pouvons toujours choisir la façon dont nous répondons à celles-ci.

La personnalité créatrice doit penser et juger par elle-même car le progrès moral de la société dépend exclusivement de son indépendance.

L'homme n'a inventé Dieu qu'afin de pouvoir vivre sans se tuer.

Savoir vivre avec son concubin c'est avoir le goût du risque et respecter le difficile engagement de n'exiger aucun engagement.

Je vais vivre dans une grotte, je vis complètement dans mon monde intérieur.

Derek Vinyard  : Tout ça, c'est typique.

Le journaliste  : Comment ça, typique ?

Derek Vinyard  : Ce pays est en train de devenir un refuge pour les criminels. Alors, faut pas s'étonner... Je veux dire que les honnêtes travailleurs comme [...] ► Lire la suite

Je défie un ermite de jeûner sans donner un goût exquis à son eau claire et à ses légumes.

Une société où tout ce qui n'a pas un prix, un tarif, n'a pas de valeur et où l'indispensable - comme la nourriture - est banalisé donne à l'argent un pouvoir totalitaire sur cette société.

Je ne me soucie pas de vivre dans un monde d'hommes si je peux y être une femme.

Vivre la route. Ne jamais quitter la route. Toujours plus loin, toujours en exil. Ne plus vivre l'idée du temps, n'avoir aucune horloge, que des couchers de soleil à l'horizon qui ne cesse de reculer plus on avance.

L'égoïsme n'est pas vivre votre vie comme vous le souhaitez. L'égoïsme veut que les autres vivent leur vie comme vous le souhaitez.

Les gens vont toujours te blesser, mais c'est à toi de décider comment y réagir. La haine devrait t'inspirer, pas t'abattre.

L'objectif principal d'une société est de gagner de l'argent. Le rôle principal du gouvernement est de prendre une grande partie de cet argent et de le donner à d'autres.

Chaque être humain est unique, il a ses propres qualités, ses instincts, ses formes de plaisir. Cependant la société impose une manière d'agir collective, et les gens ne cessent de se demander pourquoi ils doivent se comporter ainsi.

L'important n'est pas de guérir, mais de vivre avec ses maux.

La vie mérite-t-elle tant de soins, vaut-elle tout le mal qu'on se donne pour la vivre ?

Vis à la campagne pour toi, au lieu de vivre à la ville pour les autres.

Nous sommes la première société dans l'histoire à rendre les gens malheureux de ne pas être heureux.

Je ferai taire les médisants en continuant de bien vivre ; voilà le meilleur usage que nous puissions faire de la médisance.

Je m'étonne de tomber dans l'angoisse et pourtant ! Je ne cesse de jouer : c'est la condition de l'ivresse du coeur. Mais c'est mesurer le fond nauséeux des choses : jouer c'est frôler la limite, aller le plus loin possible et vivre sur un bord d'abîme !

- Pourquoi voyagez-vous ? - Pour trouver ceux qui savent encore vivre en paix.

Au galop ! Jouir, vivre ! Nous sommes mortels !

Pour être heureux essayer de vivre un moment d'éternité.

Tu demandes qu'un jour mon fragile pinceau, fasse vivre pour nous un souvenir si beau. Et ma lyre aujourd'hui te répond et l'éveille.