Citation d'Alexandre Dumas sur Apprentissage, Fous et Insensé

Sénèque ferma le vaste cercle de sa connaissance en apprenant qu'un ami au pouvoir était un ami de moins.

Celui qui vit de peu vit beaucoup.

Celui qui ne voyage pas n'a aucune connaissance des hommes.

On ne pourrait pas vivre si on avait tout le coeur qu'il faut. On ne vit que parce qu'on est dur.

La machine a gagné l'homme, l'homme s'est fait machine, fonctionne et ne vit plus.

L'homme du bonheur a accès à tout, notamment à la connaissance du malheur, tandis que l'homme du malheur n'accède à rien, pas même à la connaissance de sa misère.

La seule chose qui interfère avec mon apprentissage est mon éducation.

Il y a des livres plus utiles par l'idée qu'on s'en fait que par la connaissance qu'on en prend.

Dans chaque être humain vit une colonie entière.

Qui vit d'espérance meurt en chiant.

La scolarité est écourtée, la discipline se relâche, la philosophie, l'histoire, les langues sont abandonnées, l'anglais et l'orthographe de plus en plus négligés, et finalement ignorés. On vit dans l'immédiat.

L'homme, bien qu'il soit lui-même mortel, ne peut se représenter ni la fin de l'espace, ni la fin du temps, ni la fin de l'histoire, ni la fin d'un peuple, il vit toujours dans un infini illusoire.

Il ne faut pas laisser au jugement de chacun la connaissance de son devoir.

On ne vit pas avec les morts : on meurt avec eux ou on les fait revivre. Ou bien, on les oublie.

Le bonheur, on vit dedans. On ne le voit jamais venir.

La gloire, c'est un dinosaure qui vit chez vous. Il faut le nourrir, sinon il se fâche et peut vous tuer.

Qui augmente sa connaissance augmente son ignorance.

On ne vit pas plus ou moins longtemps heureux. On l'est. Un point, c'est tout. Et la mort n'empêche rien - c'est un accident du bonheur en ce cas.

Il faut accepter le risque, sinon on ne vit plus.

Personne ne sait encore si tout ne vit que pour mourir ou ne meurt que pour renaître.

Quand le pillage devient un moyen d'existence pour un groupe d'hommes qui vit au sein de la société, ce groupe finit par créer pour lui-même tout un système juridique qui autorise le pillage et un code morale qui le glorifie.

En ce monde, on vit mieux en disant la bonne aventure qu'en disant la vérité.

Ce qui fait le prix de la science, de la connaissance abstraite, c'est qu'elle est communicable.

Notre passé et notre avenir sont solidaires. Nous vivons dans notre race et notre race vit en nous.

A force de vivre au milieu des tableaux, on finit par se taire ; on vit surtout avec les yeux.

Ne plus consulter de voyantes ni d'astrologues. Si leurs prédictions sont mauvaises, on vit dans la crainte. Si elles sont bonnes, on vit dans un espoir toujours déçu.

L'homme vit de pain et de mots, or on oublie parfois de lui offrir ces paroles qu'il prend plaisir à recevoir...

J'ai une connaissance assez adéquate des forces sataniques.

Les gens disent que la musique celtique est revenue. Elle n'est jamais partie. Tout ce qu'on vit aujourd'hui vient du mouvement des années 1960 et 70.

La connaissance de soi est une naissance à sa propre lumière, à son propre soleil. L'homme qui se connaît est un homme vivant.