Citation de Claude Debussy sur Bien, Chose et Quelque

J'ai perdu mon insouciance. Je l'ai retrouvée, heureusement. Je me connais beaucoup plus, même si je n'ai pas l'impression de me connaître vraiment. Je ne sais pas si ça m'intéresse. C'est déjà pas mal de se chercher et de jouer avec soi.

J'aime jouer des personnages étranges. Certaines personnes pourraient dire que cela a quelque chose à voir avec une partie cachée de moi-même, mais je pense que c'est beaucoup plus simple que cela : les gens normaux ne sont tout simplement pas très intéressants.

Enseigner, c'est toujours jouer aux Danaïdes : ce qui est acquis aujourd'hui est perdu demain.

Ne charge pas tes épaules d'un fardeau qui excède tes forces.

Denis Podalydès est un grand acteur, mais pour jouer mon rôle, au point de vue capillaire, ce n'est quand même pas vraiment ça !

En réalité toute manipulation génétique sur un animal non humain devrait être interdite dans la mesure où nous n'avons aucun droit moral à jouer avec des individus sensibles et conscients qui n'ont aucun moyen d'approuver ce que nous leur faisons [...] ► Lire la suite

La comédie humaine n'aurait pas lieu si chacun refusait de la jouer !

J'aimerais pouvoir jouer le rôle principal dans un film, un superbe film.

Représentez-vous les humains comme des alpinistes qui font d'une seule et même cordée. Il faut que chacun avance et que la corde reste tendue.

- C'était des coups de feux !

- Non... un coup de marteau je dirais... Mon collègue doit être en train d'accrocher un tableau...

- Ce collègue... il n'aménage pas avec vous ?

- Absolument pas...

Un problème devient trop encombrant ? Hop, dans la chaudière.
Tu es devenu encombrant, Montag. Et le feu va soulager mes épaules de ton poids vite fait, bien fait ; pas de pourrissement à craindre. C'est ça le feu : antiseptique, esthétique, pratique.

Une jeune fille aime toujours à jouer à la maman.

Le héros peut être en chacun, même en celui qui fait une chose aussi simple et rassurante que mettre un manteau sur les épaules d'un garçon et ainsi lui faire comprendre que le monde ne s'est pas écroulé.

Celui qui se libère, loin d'être incapable de jouer le jeu, le joue encore mieux car il voit la vie comme un jeu.

Il vaut mieux être marteau qu'enclume.

Écrire le corps des femmes. Les ombres. Son ventre et son génie, la nuque douce qui déboule, coule, jusqu'au bas du dos. Les épaules pour s'agripper l'un à l'autre, le ventre écrasé contre les fesses rondes et chaudes. Animal.

Il vient, tenant dans ses mains - sales, sales, sales,
Un marteau lourd, un grand clou - pointu, pointu, pointu,
Un peloton de ficelle - gros, gros, gros.

Comme jouer du violon ou du piano, penser exige une pratique quotidienne.

Même pour jouer son propre rôle, il faut se maquiller.

Les gens ne sont pas des poupées, tu ne peux pas jouer avec et ensuite les remettre dans la boîte quand tu en as fini avec eux.

Il faut aimer une ville où l'on peut à la fois fumer et jouer dans une pharmacie.

Si je suis devenu acteur, c'est pour le plaisir de jouer avec de grandes et magnifiques actrices, je n'ai jamais été déçu.

On ne se retourne pas quand on marche sur la corde du rêve.

La basse est pour les personnes qui ne savent pas jouer de la guitare.

C'est plus difficile pour moi de jouer en trichant. J'aimerais mieux jouer avec du jeu.

- Je ne comprendrais jamais le besoin que vous autres américains ressentez de toujours jouer les héros solitaires. Quel est le votre ? John Wayne ? Clint Eastwood ?

- Je dois avouer que j'adore Roy Rogers. J'ai toujours eu un faible pour les chemises pailletées.

Il faut... jouer la pièce avec un majestueux enthousiasme, bien morguer le public, et le traiter avec la dernière insolence.

On nous demande de jouer avec une grande vérité. Quand en face il y a une partenaire de qualité, on sait elle et moi ce que nous nous donnons.

À 1O ans, je me mettais dans la peau de Gary Cooper et Humphrey Bogart. N'est-ce pas cela, être acteur : jouer à... et y croire tellement que les autres y croient aussi ?

Il vaut mieux jouer pour rien que de travailler pour rien.