Citation de Frantz Fanon sur Bien, Monde et Oublier

Le plus haut rang, la sphère suprême, la position la plus noble et la plus sublime de la création, visible ou invisible, alpha ou oméga, appartient aux prophètes de Dieu, nonobstant le fait que, apparemment, ils ne semblaient posséder que leur propre pauvreté.

La culture n'est pas un supplément d'âme que s'offrirait une société de consommation repue. Elle est notre boussole.

Etre pauvre, c'est être étranger dans son propre pays, c'est participer d'une culture radicalement différente de celle qui domine la société normale.

L'objectif principal d'une société est de gagner de l'argent. Le rôle principal du gouvernement est de prendre une grande partie de cet argent et de le donner à d'autres.

Plus une société devient démente, plus le langage a pour charge de planquer cette démence derrière un lexique fréquentable.

Ne perds pas ton temps à répéter que le monde te doit quelque chose. Le monde ne te doit rien. Il était là avant toi.

Tout le monde en Argentine se souvient de la main de Dieu lors du match d'Angleterre lors de la Coupe du monde 1986. Maintenant, dans mon pays, la main de Dieu nous a amené un pape argentin.

Tout le monde ment...

Si vous avez été amoureux, sérieusement amoureux, vous avez dû éprouver ce besoin d'isoler du monde l'être dans lequel vous vouliez vivre tout entier.

Vous ne pouvez pas vous concentrer sur les carrières d'autres personnes. Tout le monde est différent.

Les hommes ne vivraient pas longtemps en société s'ils n'étaient les dupes les uns des autres.

La vérité peut venir au monde n'importe comment et même sous la forme d'une émotion.

Une société de liberté est une société où vous êtes libre d'être impopulaire sans pour autant que votre vie soit en danger.

C'est important d'être beau, dans la vie. Une belle apparence, ça donne de l'assurance. Quand on est beau, tout le monde vous aime.

La réussite, et non la noblesse, est le seul dieu devant lequel le monde s'incline.

Je suis un paria du monde littéraire japonais. Critiques, écrivains: nombreux sont ceux qui ne m'aiment pas.

Les femmes ont été assujetties matériellement aux hommes depuis des générations dans le monde entier. Elles en sont venues à se reposer sur l'homme aussi inconditionnellement qu'un enfant sur ses parents.

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n'est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien.

La fin du monde n'est pas encore pour demain.

Celui qui désire mener le Bon Combat doit regarder le monde comme s'il s'agissait d'un trésor inépuisable, qui attend d'être découvert et conquis.

Il en est des gens qui bâtissent des systèmes comme d'un homme qui construit un immense château, mais qui loge soi-même dans une grange.

Le plaisir crée entre le monde et nous un état d'harmonie où la conscience tend à se dissoudre.

L'imagination, c'est l'art de donner vie à ce qui n'existe pas, de persuader les autres d'accepter un monde qui n'est pas vraiment là.

Tout s'accomplit au-dedans de soi. Le monde n'existe pas.

La courbe de la surveillance dépasse celle de la population. Il n'y a pas d'issue. On en est aujourd'hui au point où 10 millions de dollars suffisent à acheter une unité pour stocker définitivement les interceptions massives d'un pays de taille moyenne.

Lorsque vous innovez, vous devez vous préparer à ce que tout le monde vous dise que vous êtes fou.

Il y a de la place au soleil pour tout le monde, surtout quand tout le monde veut rester à l'ombre.

Où les mères peuvent-elles donc avoir appris toutes ces choses qu'elles soupçonnent constamment leurs filles de faire dès qu'elles ont le dos tourné ?

La société politique contemporaine : une machine à désespérer les hommes.

La seule façon de faire face à un monde non libre est de devenir si absolument libre que votre existence même est un acte de rébellion.