Citation de Frédéric Mistral sur Famille, Homme et Roman

Le sentiment de pouvoir du père traditionnel est lié au fait que la maisonnée dépend financièrement de lui. Si sa femme s'arrondit, c'est son pouvoir qui s'agrandit.

Rien et personne, les deux piliers de la grande famille humaine.

Votre fils sera tel que vous l'aurez élevé ; et votre mari, tel que vous l'aurez habitué.

Je suis comme tous les Français, avec une dimension en moins par rapport aux personnes touchées, comme par exemple ce père qui apostrophe Manuel Valls afin de retrouver le corps de sa fille. Je suis touché, anéanti, dépassé, comme tous [...] ► Lire la suite

Mon père tenait un salon de thé au Japon, j'étais fasciné par les tenues des geishas et le cérémonial du thé qui se déroulait chaque jour sous mes yeux.

Batman  : Tu crois être le seul qui puisse engranger la force de s'échapper, où est le détonateur !

Bane  : Moi ? Je ne me suis pas échappé !

Batman  : Mais l'enfant alors ? L'enfant de Ras Al Ghul a fait l'ascension.

[...] ► Lire la suite

Le lecteur n'a aucun droit, il n'a rien à attendre de l'écrivain.

Le Roman est une Mort ; il fait de la vie un destin, du souvenir un acte utile...

Les gens ne peuvent pas supporter l'idée que je puisse être sexy et provocatrice, et être toujours une personne agréable avec une belle famille et un bon mari, et avoir une carrière qui pourrait fonctionner.

Un ami peut vous aimer pour votre intelligence, une maîtresse pour votre charme, mais une famille vous aime sans raison, parce que vous êtes né en elle, et morceau de sa chair.

Tous les pères sont les mêmes ! Vient toujours un moment où ils ne voudraient pas être regardés par leur fils avec les yeux qu'ils leur ont faits.

Un père n'est pas là pour fournir des réponses, mais pour montrer l'exemple. Les fils, il ne faut surtout pas les rassurer : il s'agit de les inspirer.

Mon pére vous a donné sa santé, je suis là pour l'addition.

Si dans sa maison on témoigne du respect à son père et à sa mère, pourquoi aller au loin pour brûler des parfums ?

Michaël, tu te souviens de ce mythe grecque que tu m'as lu sur un Dieu qui avait emprisonné tous ses enfants dans les enfers et que pour se venger, le jeune fils l'avait castré avec un fossile ?

La nature du roman est l'infini.

Le monde n'était pas plus grand que nos pensées, et pas plus que le fils de Clinias nous ne savions ce qu'est la mort.

Le jour où j'ai vu ma mère manger les biscuits du père Noël sur l'assiette a été l'un des plus horribles jours de ma vie.

Je viens d'une famille ordinaire - mon père est menuisier, couvreur - et nous avons toujours adoré courir ensemble.

Je sais pas ce qu'il a fait a ma famille mais il a niqué mes poissons !

Mieux vaut avoir de nombreux enfants. Ils se répartissent la sottise de leurs parents. Le fils unique la garde toute pour lui.

Le père Noël a la bonne idée - ne visitez les gens qu'une fois par an.

Le vrai bonheur est d'être avec ma femme, mon fils et mes petits-enfants.

Entre père et fille, tout se joue dans une marge étroite : la fille doit séduire son père et, en même temps, elle ne doit pas.

Ma mère est irlandaise, mon père est noir et vénézuélien, et moi - je suis bronzée.

C'est peut-être le premier devoir d'un père de retrouver successivement son âme de douze, de quinze, de dix-huit et de vingt-deux ans.

La famille est un archipel.

Une naissance illustre ne pare point véritablement l'homme, et chez les héros le courage en tient lieu.

De la naissance à la mort, on branche nos vies sur pilotage automatique et il faut un courage surhumain pour en dévier le cours.

Mon père était fou amoureux de mon frère. Il était son prince, et moi le vilain petit canard. Il y avait une disparité absolue dans la façon dont il nous traitait.