Citation de Michel Foucault sur Peur, Rêvé et Ennemis

Jeune femme cherche l'homme de sa vie, quelqu'un pour mes jours et mes nuits, un coeur sur qui compter, un homme en somme qui sache aimer. Je le rêve tendre et romantique, j'imagine son regard électrique, qu'il me protège, que [...] ► Lire la suite

L'amour, c'est l'ennui d'être seul, la joie d'être à deux, la peur d'être à trois.

Tu ne comprends pas ? Peu importe à quel point je deviens riche, connue, ou talentueuse, quand ça en vient à toi je... je serai toujours cette fille avec des yeux ronds comme la lune qui te faisait peur à notre [...] ► Lire la suite

Là où il y a charité et sagesse, il n'y a plus ni peur ni ignorance.

La douleur vous rend plus fort. La peur vous rend plus courageux. La peine d'amour vous rend plus sage.

La peur d'être seul n'est bien souvent que l'horreur du vide, et il se pourrait que la solitude fût la véritable épreuve des êtres.

Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.

La misanthropie de la vieillesse est moins une haine qu'une indigestion des autres.

Comme les ennemis sont mortels, il n'est somme toute que d'attendre.

À présent, je soupçonne que, tout comme les cerfs vivent dans la peur mortelle des loups, une montagne vit dans la crainte mortelle des cerfs. Et peut-être à plus juste titre, car si un cerf tué par des loups peut [...] ► Lire la suite

Le sommeil est le fleuve souverain de la vie et le rêve ses alluvions !

Elle pouvait indiquer un envoûteur qui, par image de cire bien travaillée, aiguilles plantées et conjurations prononcées, ferait oeuvre nocive sur Mahaut.

Cité-dortoir, cité poubelle, Nuit et brouillard, lumières artificielles, Dans nos intérieurs d'infinie solitude, On rêve d'ailleurs sous d'autres latitudes.

Mon coeur se cache toujours timidement derrière mon esprit. Je me suis mis à faire tomber des étoiles du ciel, puis, par peur du ridicule, je m'arrête et cueille de petites fleurs d'éloquence.

La pire des avarices : celle des sentiments.

Ceux qui font le pire usage de leur temps sont les premiers à se plaindre de sa brièveté.

Dans la haine nazie il n'y a rien de rationnel : c'est une haine qui n'est pas en nous, qui est étrangère à l'homme.

L'artiste nous apporte l'esprit, le milieu fournit l'image, et le drame de l'art tourne autour du point d'équilibre où cet esprit et cette image se voient contraints de s'accorder.

Mon mari voulait-il punir les enfants ou agissait-il ainsi, d'abord, pour me blesser à travers eux ? Un peu des deux je crois. il savait que leurs douleurs étaient aussi les miennes.je suis persuadée aujourd'hui que c'était une autre façon [...] ► Lire la suite

Je t'ai aimée la première fois que je t'ai vue. Je crois que j'avais 12 ans. Ça m'a pris trois ans pour trouver le courage de te parler... Et j'avais tellement peur de ce que je ressentais, tu sais, aimer une [...] ► Lire la suite

Quel premier communiant n'a rêvé d'être pape ?

Si une personne n'a pas de rêves, elle n'a plus de raison de vivre. Rêver est nécessaire, bien que dans le rêve la réalité devrait être entrevue. Pour moi, c'est un principe de vie.

Ne regarde ni en avant ni en arrière, regarde en toi-même, sans peur ni regret.

La mort hypnotise la vie, comme le rêve illusionne la réalité.

- Tu serais prêt à te battre ?

- Pourquoi, tu crois que j'ai peur ?

- Je crois que tu as eu peur toute ta vie.

Le vrai rêveur est celui qui rêve de l'impossible.

Le vert est le nouveau noir ! Quelle connerie ! Le vert est le nouveau noir... Quelqu'un d'autre a-t-il remarqué que tout le monde est devenu fou ? Pourquoi on a tous peur de regarder les choses telles qu'elles sont ? C'est ce genre [...] ► Lire la suite

J'ai toujours séparé les choses bestiales des sentiments. Je suis comme Cyrano de Bergerac : j'aime en silence. J'ai peur de l'échec.

Le rêve est une hypothèse, puisque nous ne le connaissons jamais que par le souvenir, mais ce souvenir est nécessairement une fabrication.

Je suis seule dans mon lit, j'ai froid sans mon radiateur humain. Je rêve de me blottir contre ton torse et m'endormir paisiblement.