Citation de Michel Galabru sur Dieu, Hommes et Jeu

Le comportement borné des hommes en face de la nature conditionne leur comportement borné entre eux.

Les défauts de la nature humaine nous offrent des occasions d'exercer notre philosophie, le meilleur emploi de nos vertus. Si tous les hommes étaient justes, tous les coeurs sincères, francs et loyaux, à quoi serviraient nos vertus ?

Si Dieu nous avait vraiment faits à son image, il y aurait moins de chirurgiens esthétiques.

Il n'y a rien de mal à ce qu'une femme accueille toutes les avances des hommes tant qu'elles sont en espèces.

La virginité est le plus riche trésor des filles, mais il est bien malaisé de garder longtemps un trésor dont tous les hommes possèdent la clé.

Deux hommes sont dos à dos ; 42.000 kilomètres les séparent.

Nous savons au moins déja une chose, c'est que l'homme est merveilleux, et que les hommes sont pitoyables.

La seule liberté, les hommes ne la désirent point.

Tous les hommes sont frères, et comme tels, savent trop de choses sur leur compte réciproque. Mais si nous sommes tous frères, toutes les femmes ne sont pas nos soeurs !

Les hommes ne sont que ce qu'ils sont que parce que la nature n'est pas ce qu'elle est.

Après tout peut-être que la grandeur de l'art réside dans la tension perpétuelle entre la beauté et la douleur, l'amour des hommes et la folie de la création, la solitude insupportable et la foule épuisante, le rejet et le consentement.

Il est rare que ceux qui établissent des catégories sociales entre les hommes se rangent eux-mêmes sur les bas degrés de l'échelle.

L'objet principal de la religion n'est pas d'amener un homme au ciel, mais d'amener le ciel en lui.

Marcher, c'est retrouver son instinct primitif, sa place et sa vraie position, son équilibre mental et physique. C'est aller avec soi, sans autre recours que ses jambes et sa tête. Sans autre moteur que celui du coeur, celui du moral.

Jouir des dons de Dieu et ne pas murmurer de ses coups, c'est toute la vie.

Les hommes célibataires n'ont jamais de problèmes.

Trente années des hommes ne sont pas trente années du temps.

Le sexe est le prix que les femmes paient pour se marier. Le mariage est le prix que les hommes paient pour avoir du sexe.

J'ai été marié trois fois. La première, j'étais trop jeune. La deuxième, j'étais trop bête. Le troisième fois, j'ai épousé une femme qui vient d'une culture différente, plus stricte. J'ai appris des choses, la tolérance, notamment. Je ne dirais pas [...] ► Lire la suite

Les hommes par leur conduite envers les femmes, travaillent à leur donner tous les défauts qu'ils leur reprochent.

Dieu n'est ni illusion ni réalité, Dieu est un symbole mythique.

Plus les jupes des femmes raccourcissent et plus les regards des hommes s'allongent.

On se marie par manque de jugement. On divorce par manque de patience. Et on se remarie par manque de mémoire.

Quand donc apprendrez-vous à mieux connaître l'avidité des hommes et à ne pas tomber dans le piège de la pitié ?

Les hommes sont ces créatures avec deux jambes et huit mains.

Si le plus grand plaisir des hommes est de se payer les corps des femmes, le plus grand plaisir des femmes est de se payer la tête des hommes.

La merveille de toute l'histoire est la patience avec laquelle les hommes et les femmes se soumettent aux fardeaux inutilement imposés par leurs gouvernements.

J'aime être une femme, même dans un monde d'hommes. Après tout, les hommes ne peuvent pas porter de robes, mais nous pouvons porter des pantalons.

N'est-il pas clair comme le jour que l'Argent est précisément ce même Dieu qui veut qu'on le dévore et qui seul fait vivre, le Pain vivant, le Pain qui sauve, le Froment des élus, la Nourriture des Anges, mais, en même temps, la Manne cachée que les pauvres cherchent en vain ?

Les coeurs et les visages des hommes sont toujours écartés; les femmes ne sont pas seulement en étroite connexion, mais sont comme un miroir dans le pouvoir instantané de la réflexion.