Citation d'horace sur Facile, Améliorer et Supporter

La douceur c'est la plénitude de la force.

Le mal s'apparente à un gaz : il n'est pas facile à voir, mais il est repérable à l'odeur. Il est le plus souvent stagnant, réparti en nappe étouffante.

La main de la mère relevant avec nonchalance une mèche de cheveux sur le front de son enfant lègue à celui-ci une douceur qu'une vie entière n'épuisera pas.

Il n'est pas facile de distinguer dans nos réflexions ce qui se rapporte à nous ou à nos proches. On est habité par ceux qu'on aime ou qu'on hait.

Jeune femme cherche l'homme de sa vie, quelqu'un pour mes jours et mes nuits, un coeur sur qui compter, un homme en somme qui sache aimer. Je le rêve tendre et romantique, j'imagine son regard électrique, qu'il me protège, que [...] ► Lire la suite

On n'a pas raison de tenir rigueur à quelqu'un d'un mauvais conseil quand on en accepte un bon pour rien. C'est comme en affaires : vous partagez dans les profits à condition de supporter les pertes.

Le pauvre a la patience de faire bouillir, mais pas celle de laisser refroidir.

La philosophie nous apprend à supporter sereinement le malheur des autres.

- Je suis un soldat ! J'obéis.

[Maximus relève la tête d'un air épuisé]

- Rien n'arrive à quelqu'un qui n'est pas apte à le supporter naturellement.

La douceur est une énigme. Incluse dans un double mouvement d'accueil et de don, elle apparaît à la lisière des passages que naissance et mort signent.

Il est si facile de perdre la mémoire de soi-même.

Beaucoup plus facile d'admettre le suicide de quelques-uns que l'obstination de la majorité à vivre.

Plus fait douceur que violence.

Comme toujours, il est immensément plus facile de disserter sur de telles méthodes, et de faire des lectures à leur sujet, que de les mettre en pratique.

C'est bien plus facile de noter ses états d'âme dans un journal secret que de les exprimer ouvertement. Quelle belle fuite du réel !

- Je prends mon dessert d'abord.

- Est-ce que c'est une décision politique ? Ou une condition médicale, peut-être ?

- Je ne vois juste pas l'intérêt d'attendre. Je veux dire, et si je meurs pendant que je mange mon entrée ?

- [...] ► Lire la suite

Le privilège de l'écrivain est d'aider l'homme à tout supporter en élevant son coeur, en lui rappelant le courage, l'honneur, l'espoir, la fierté, la compassion, la pitié et les sacrifices qui font les gloires de son passé.

Que j'aimerais leur tendre la main, mais ces sauvages me la couperait.

Dans la douceur de votre amitié, qu'il y ait des rires, et le partage des plaisirs.

C'est le métier de tout homme de parler de patience à ceux qui se tordent sous le poids de la souffrance ; mais nul n'a la vertu ni le pouvoir d'être si moral, quand il endure lui-même la pareille.

On imagine mal la somme de catastrophes que chacun peut supporter dans l'indifférence, pour peu qu'elles s'abattent sur autrui.

C'est plus facile pour un bon ouvrier de devenir un bon bourgeois que pour un bon bourgeois de devenir un bon ouvrier.

Les femmes tombent parfois dans la prostitution parce que c'est plus facile de transformer son corps en marchandise que son cerveau en un instrument de réflexion.

Il est facile de vaincre une personne si vous connaissez ses habitudes.

Il est aussi facile de se tromper soi-même sans s'en apercevoir qu'il est difficile de tromper les autres sans qu'ils s'en aperçoivent.

Il est plus facile de crier contre le monde que d'y tenir sa place.

J'ai soudain le sentiment étrange d'être en harmonie avec moi-même, tout est parfait en cet instant, la douceur de la lumière, ce petit parfum dans l'air, la rumeur tranquille de la ville. J'inspire profondément car la vie me parait alors si simple, qu'un élan d'amour me donne tout à coup envie d'aider l'humanité tout entière.

Que doit-on préférer : un bonheur facile ou des souffrances élevées ?

La prison elle-même est une formidable éducation sur le besoin de patience et de persévérance. C'est avant tout un test d'engagement.

Le cerveau est ainsi fait qu'il associe la douceur aux courbes et la dureté aux angles.