Citation d'Alphonse Allais sur Dieu, Femme et Diable

L'art, c'est la nature accélérée et Dieu au ralenti.

Les preuves de l'existence du créateur se réduisent à deux genres : la preuve tirée de la providence et la preuve tirée de la création.

Pour cesser de croire à la vie, il faudrait que Dieu cessât d'exister !

- Oh Madeline ! Il faut que je vois Madeline !

- Elle n'est pas là...

- Oh Dieu merci !

J'ai rencontré deux fois Delphine de Vigan. C'est une femme charmante, grande, blonde, fort sympathique. Le problème, c'est qu'entre les deux rencontres, j'ai lu son dernier livre.

La femme est une fontaine où se cassent toutes les calebasses.

Parmi les scènes qui ont fait une profonde impression sur mon esprit, aucune n'est plus sublime que l'aspect des forêts vierges qui ne portent pas encore la trace du passage de l'homme ; que ce soient, d'ailleurs, les forêts du [...] ► Lire la suite

Puisque la femme revendique ses droits, ne lui en reconnaissons qu'un seul : le droit de plaire.

Sois semblable à Dieu est le commandement de l'humilité.

Après les femmes, les fleurs sont la plus belle chose que Dieu a donné au monde.

Je ne cacherai pas une science qui a été révélée avant moi par la grâce de Dieu ; je ne la garderai pas pour moi, de peur d'attirer sa malédiction.

Une femme artiste n'a ni muse ni esclave. Elle doit être ces deux choses pour elle-même.

Abstenez-vous de raconter à votre femme les infamies que vous ont faites celles qui l'ont précédée. Ce n'est pas la peine de lui donner des idées.

La femme constitue quatre-vingt-dix pour cent du cosmos qu'elle porte inconsciemment en elle, l'excédent c'est la vraie création.

Derrière tout créateur devrait se tenir quelqu'un. Le mieux : que ce soit lui-même.

Maman, chaque soir je puise ma force dans ton regard
Pour moi tu es la fleur du pouvoir
Une femme modèle car malgré la souffrance
De ton enfance
Tu t'es battu
Et tu as vaincu
Les mots que tu me dis
A toi on ne les a jamais dit
Pour tous ce que tu as vécu je te respecte
Je t'aime maman !

Ce serait un outrage à Dieu et au prochain que laisser l'affamé avoir faim sous prétexte que Dieu est proche de sa misère.

On entend, sans doute, par demi-mondaine une femme qui se donne à un homme sur deux.

La femme est un certain animal difficile à connaître.

La femme idéale, c'est celle qu'on découvre quand on est déjà marié.

Une vraie femme doit parfois obéir à l'homme qu'elle aime, afin de jouir d'une entente parfaite.

Une fois qu'une femme a pardonné à son homme, elle ne doit pas réchauffer ses péchés pour le petit-déjeuner.

On n'est point l'ami d'une femme lorsqu'on peut être son amant.

Quand Dieu efface, c'est qu'il s'apprête à écrire.

Si un homme transmet son expérience à travers ses chansons, il est courageux. Si une femme fait la même chose, on dira qu'elle manque de pudeur, qu'elle est trop émotive, voire qu'elle est folle.

Le diable ne croit pas, non pas parce que c'est le diable, mais parce qu'il est vieux.

Laissons l'amour de Dieu à nos poèmes et cachons-le sous notre prose : c'est une façon de le respecter que de le chanter ou de le taire.

Priez Dieu de graisser votre girouette afin qu'elle s'oriente bien au vrai vent de l'Esprit, et ne reste pas calée par la rouille des vaines habitudes.

Justes, ne craignez point le vain pouvoir des hommes. Quelque élevés qu'ils soient, ils sont ce que nous sommes, Et c'est le même Dieu qui nous jugera tous !

Chacun pour soi et Dieu pour tous !