Citation de Denis Robert sur Mort, Économie et Finance

Mon amour ! Ma femme ! La mort qui a sucé le miel de ton haleine n'a pas encore eu de pouvoir sur ta beauté : elle ne t'a pas conquise ; la flamme de la beauté est encore toute cramoisie sur tes lèvres [...] ► Lire la suite

Je pense que la mort est la plus merveilleuse invention de la vie. Elle purge le système de ces vieux modèles qui sont obsolètes.

La mort est toujours la même, et chacun, pourtant, meurt de sa propre mort.

La vie est un éclair mais la mort est sans fin.

C'est dans la mort qu'on parle le mieux de la vie.

Vivre sans temps mort et jouir sans entrave.

Ce ne sont point les lieux où un grand homme est né et où il est mort qu'il faut visiter pour lui rendre hommage. Ce sont les lieux qu'il admirait entre tous...

L'interminable débat sur la peine de mort n'est pas juste à l'égard de celui qui prémédite un meurtre.

Si la mort n'est pensable ni avant, ni pendant, ni après, quand pourrons-nous la penser ?

La vraie réussite d'une équipe, c'est d'assurer la compétitivité dans la pérennité.

Jamais la mort ne sera aussi belle que la vie que l'on a perdue !

Les discours racistes sont tous les mêmes : de la haine, de l'arrogance et un immense complexe d'infériorité qui cherche à se combler par la mort et les massacres.

Chacun lutte comme il peut contre l'angoisse de la mort et la solitude ; tracer des mots pour les écarter ne constitue pas l'un des plus mauvais moyens inventés par l'Homme.

La mort est aussi soudaine dans ses caprices qu'une courtisane l'est dans ses dédains, mais plus fidèle, elle n'a jamais trompé personne.

Mon âme n'a point tolérance de la mort !

Aimer, écrire sont les seuls remparts que j'aie trouvés contre l'omniprésence de la mort et de la dépression.

La mort n'est pas la dernière fin, il nous reste encore à mourir chez les autres.

La mort n'est peut-être qu'une absence totale d'amour, qu'une sursaturation de haine.

Des bruits couraient que le ballet La mort du cygne avait été commandité par des bookmakers du nord de l'État de New York et que l'on pariait gros sur la survie de l'oiseau.

Là où la vie n'avait aucune valeur, la mort avait parfois son prix. C'est pourquoi les tueurs de primes sont apparus.

La fortune résultant de la différence entre dépenses et recettes, les riches encaissent plus volontiers qu'ils ne décaissent. C'est même à cette particularité qu'ils se reconnaissent des pauvres, qui, eux, n'ont nul crédit à espérer.

Ce qu'on appelle "mourir" c'est achever de naître et ce qu'on appelle "naître" c'est commencer à mourir. "Vivre" c'est mourir en vivant. Nous n'attendons pas la mort : nous vivons perpétuellement avec elle.

Le capital ne manque pas. Ce qui manque, c'est la vision.

Il est à peu près évident que ceux qui soutiennent la peine de mort ont plus d'affinités avec les assassins que ceux qui la combattent.

Le seul moyen d'être sage est d'envisager la mort comme une fête.

La mort est une amie pour les vivants qu'elle libère...

J'ai vaincu la mort par l'orgueil et le narcissisme.

Lorsque j'ouvris Nietzsche pour la première fois, je fus profondément choqué. Noir sur blanc, il avait l'audace d'affirmer : "Dieu est mort !" Comment ! Je venais d'apprendre que Dieu n'existait pas et maintenant quelqu'un me faisait part de son décès ! Mes premiers soupçons prirent naissance.

On peut tout dominer : la douleur, la maladie, il n'y a que la mort qui vous échappe... et encore !

Les haines sont si longues et si opiniâtrées, que le plus grand signe de mort dans un homme malade, c'est la réconciliation.