Citation de Jean-Paul Cofsky sur Femme, Beaucoup et Deux

Dans un couple adultère, la femme y gagne deux hommes et nous n'en avons toujours qu'une à nous partager...ce sont bien nos moitiés.

Doutez, si vous voulez, de celui qui vous aime, D'une femme ou d'un chien, mais non de l'amour même.

L'économie est fille de la sagesse et d'une raison éclairée : elle sait se refuser le superflu, pour se ménager le nécessaire.

Un homme doit souvent sa carrière à sa première femme, et sa deuxième femme à sa carrière.

J'ai l'impression que le Maroc, c'est ma mère. La France, c'est ma femme et New York, c'est ma maîtresse.

Qu'y a-t-il de pire qu'une femme ? Deux femmes.

Raciste, moi Raciste, Salomon ! Raciste ? En tout cas ma fille épouse un homme bien blanc, bien blanc !.. Il est riche comme moi et catholique comme tout le monde.

Ma chérie, tu es à la fois la femme dont je baise la bouche, la reine dont j'adore les pieds, l'ange dont je contemple les ailes ! Ma bien-aimée, ma bien-aimée, ton beau sourire n'est pour les autres hommes qu'un sourire, pour moi c'est un éblouissement : je t'aime.

Même bonne, une femme est toujours plus ou moins vipère avec un homme qu'elle aime.

J'aime une femme qui rit. Il semble alors que son vagin remonte jusqu'à sa bouche, en vrillant, comme certaines fusées de feux d'artifice.

Deux époux mal assortis sont comme deux chanteurs qui chantent les mêmes paroles sur un air différent.

Je suis très ami et je serai ami toute ma vie avec Nicolas Sarkozy, parce que je le connais depuis très longtemps, et c'est lui qui m'a marié avec Laeticia. (...) M. Hollande sera certainement, et je l'espère, un très bon président pour la France.

La femme que l'on a aimée résume-t-elle toute notre conception de l'amour ?

Je connaissais des hommes qui couchaient avec une fille différente chaque soir. Je ne l'ai jamais compris. Et après avoir fait de même pendant un certain temps, je l'ai encore moins compris. C'était frustrant ; comme la cuisine chinoise : une heure après, on a faim.

Le mari, l'amant, caressent la même femme, mais c'est chacun une femme différente qu'ils aiment.

Ma femme n'est pas une femme, c'est une fleur ; on ne la possède pas, on la respire !

Depuis qu'il n'est pas venu à l'enterrement de l'arrière grand oncle d'un neveu du côté de la soeur de mon mari, pour moi, il ne fait plus partie de la famille.

Certains maris admirent davantage leur femme à mesure qu'ils sont plus trompés. A côté des cocus honteux, il y a les cocus émerveillés.

Je suis ma pire critique et si je ne tire pas ce que je pense que je voulais faire dans ma tête, je ne serai pas une fille heureuse.

Le père est un miroir dans lequel la petite fille puis l'adolescente, peut discerner les prémices de la femme qu'elle deviendra.

La maternité est un désir qui surpasse tout.

Le mystère de l'incarnation se répète en chaque femme ; tout enfant qui naît est un Dieu qui se fait homme.

L'homme se souvient du passé, la femme pressent l'avenir ; le couple voit le présent.

Elle ne voulait pas savoir le comment des choses, mais le pourquoi. Ce qui peut être gênant. On se demande le pourquoi d'un tas de choses et on finit par se rendre très malheureux, à force. Il vaut bien mieux pour cette pauvre fille qu'elle soit morte.

Être jalouse d'une belle femme ne vous fera pas devenir plus belle.

L'âme de la femme est une chose si mystérieuse, si complexe, que l'on va d'émerveillement en émerveillement à mesure qu'elle nous est révélée.

La femme est la ceinture qui tient le pantalon de l'homme.

Pensez comme une reine. Une reine n'a pas peur d'échouer. L'échec est un autre tremplin vers la grandeur.

Après 40 ans une femme doit choisir entre sa silhouette et son visage. Choisissez le visage et restez assise !

Une femme est le meilleur dictionnaire.