Citation de Georges Dor sur Amour, Bien et Vivre

Le temps, en compensation de tous les trésors qu'il nous ôte, donne à nos pensées une indulgence que la jeunesse ne connaît pas.

Si on ne désire plus, c'est le désir qu'il faut soigner. Chercher l'amour en vous, pas chez les autres. Vous le leur apporterez après.

En attendant, on confie notre destin à la démocratie. Celui qui fait le mieux semblant de tout savoir est élu pour demander ensuite à ceux qui ont le plus de diplômes de lui dire ce qu'il faut faire devant l'inconnu...Et, [...] ► Lire la suite

Rien n'est plus naturel que d'aimer son pays, mais pourquoi notre amour connaît-il des frontières ?

Le véritable amour est d'aimer ceux qui vous haïssent, d'aimer votre prochain même si vous vous méfiez de lui.

Mais qui sans amour Existe ?

Ecrire n'est pas une vocation, mais un désir ferme de provocation.

Selon que vous serez fou ou sage, vous composerez les rêves de votre vieillesse des regrets de votre jeunesse ou des espérances de l'éternité !

Nous aimons à penser que nous sommes au volant de nos vies, mais en réalité, l'idée que nous contrôlons notre destin n'est qu'une illusion. Vous pouvez choisir les amis les plus loyaux, faire le métier de vos rêves, trouver le [...] ► Lire la suite

La campagne sera victorieuse si nous le méritons et vous connaissez mon attachement à la valeur travail.

Le royaume des cieux se prend par force de chaude amour et de vive espérance, qui vainc d'emblée la volonté divine.

Dans l'âge mûr, on s'entend mieux à se garder contre le malheur, dans la jeunesse à le supporter.

- Tu dois l'admettre, le destin à tendance à nous réunir.

- Ne confonds pas le destin avec la poisse.

Maternité : Tout amour commence et se termine là.

Il faudrait avoir complètement oublié l'histoire de la science pour ne pas se souvenir que le désir de connaître la nature a eu la plus constante et la plus heureuse influence sur le développement des mathématiques.

Les femmes n'ont vraiment goûté le plaisir de leur amour que quand elles l'ont enfin raconté par le menu.

Le mouvement du désir ne peut être ce qu'il est que comme renoncement au désir.

Pourquoi cet amour querelleur, cette haine amoureuse, ce tout créé d'un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cette innommable chaos des plus aimables formes...

Le plaisir étant éphémère, et le désir durable, les hommes sont plus facilement menés par le désir que par le plaisir.

Autour de cette table je revois défiler mes soeurs, mon père, ma mère ensemble ! Tous à pas savoir comment faire avec cette amour trop fort, encombrant étouffant gênant et tellement ancré en nous, un amour jamais prononcé, ingérable incompréhensible, déchirant, [...] ► Lire la suite

L'avenir n'est pas fixé. Il n'y a de destin que ce que nous faisons.

Quand le dieu et la déesse veulent s'unir, ils entraînent chacun de leur côté, l'un vers l'autre, le monde où ils habitent.

Parce qu'on meurt dans ce monde et pour nier le destin l'homme a bâti de concepts cette demeure logique, où les seuls principes qui vaillent sont de permanence et d'identité.

Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.

Le soleil se lève, tu veux vivre ton rêve, le destin cette crapule, t'impose son module.

Un mur où on a mis la main soi-même nous en apprend plus long sur la liberté de l'homme que tous les philosophes.

Humour, c'est amour ; ironie, c'est mépris.

Y a-t-il quelque part un ruisseau d'eau pure ? N'existe-t-il pas cet amour qui dure ? Le bonheur est-il bref comme un orage en ciel d'été ?

Fantasmes de désir comme des rêves, les oeuvres d'art constituent pour leur créateur - comme ensuite pour ceux qui en jouissent - une sorte de soupape de sûreté à la pression trop forte des instincts refoulés.

La totalité est en moi cette exubérance : elle n'est qu'une aspiration vide, un désir malheureux de se consumer sans autre raison que le désir même - qu'elle est tout entière - de brûler. C'est en cela qu'elle est l'envie [...] ► Lire la suite