Proverbe Français sur Doit, Compte et Acheter

Nous devons nous garder de surestimer la science et les méthodes scientifiques lorsqu'il s'agit de problèmes humains, et nous ne devons pas supposer que les experts sont les seuls à avoir le droit de s'exprimer sur les questions touchant à l'organisation de la société.

Il est des amitiés circonspectes, qui, craignant de se compromettre, refusent des conseils dans les occasions difficiles, et dont la réserve augmente avec le péril des amis. Mais une amitié véritable ne connaît point ces timides précautions.

Tout enseignant qui peut être remplacé par un ordinateur doit être remplacé par un ordinateur.

On ne vit point assez pour profiter de ses fautes.

Quand on croit pouvoir chicaner sur ses devoirs parce qu'ils sont difficiles, il n'y en a point qu'on ne puisse mettre en question ; car il n'y en a pas un qui, de temps à autre, ne coûte quelque chose à remplir.

Pleurer et gémir sur ses malheurs, quand on doit tirer des larmes de ceux qui vous écoutent, mérite qu'on s'y arrête.

Cherchons à nous accommoder à cette vie ; ce n'est point à cette vie à s'accommoder à nous.

Un scénariste doit chaque jour tuer son père, violer sa mère et trahir sa patrie.

Je finis par ne pas acheter beaucoup de choses, car je les trouve ridicules.

C'est en allant vers la mer que le fleuve reste fidèle à sa source.

On se rend vite compte que les méchants sont à nos cotés depuis le début.

Si un homme se barbouille une cible sur le torse, il doit s'attendre à ce que, tôt ou tard, quelqu'un y décoche une flèche.

Le Royaume est à la fois l'arbre et la graine, ce qui doit advenir et ce qui est déjà là. Ce n'est pas un au-delà, plutôt une dimension de la réalité qui le plus souvent nous demeure invisible.

La terre compte cinquante-trois millions de français et trois milliards d'étrangers.

Hommes et citoyens, nous avons dit plus d'une fois dans notre orgueil : -Le XVIIIe siècle a proclamé le droit de l'homme ; le XIXe proclamera le droit de la femme ;-mais il faut l'avouer, citoyens, nous ne nous sommes point hâtés...

Il faut en effet conjuguer les systèmes de droit non seulement au présent et au passé, mais aussi au futur.

T'entendre chanter quand tu cuisinais, parler des heures avec tes amies, nous expliquer patiemment un devoir ou même crier à Papa qu'il doit se dépêcher nous manquera infiniment ... mais cette voix si douce et jamais plaintive restera pour toujours dans nos coeurs.

On doit lire tous les écrivains deux fois, les bons et les mauvais. Les uns, on les reconnaîtra ; les autres, on les démasquera.

La présomption ne doit jamais nous faire négliger ce qui nous paraît facile, ni le désespoir nous faire perdre courage à la vue des difficultés.

Un droit réel est quelque chose que les gouvernements ont simplement besoin de sécuriser, de ne pas mettre en oeuvre.

Je crois en la magie, je suis née et j'ai grandi à un moment magique, dans une ville magique, parmi des magiciens. La plupart des gens ne se rendaient pas compte de la magie qui nous entoure. Nous sommes reliés [...] ► Lire la suite

Certains veulent garder un évangile si désincarné qu'il ne s'implique pas du tout dans le monde qu'il doit sauver.

La poussière n'est pas encore le néant : elle doit être dispersée.

Dans notre législation telle qu'elle est, la femme ne possède pas, elle n'este pas en justice, elle ne vote pas, elle ne compte pas, elle n'est pas. Il y a des citoyens, il n'y a pas de citoyennes. C'est là un état violent : il faut qu'il cesse.

On dit "une belle mort", comme si la mort pouvait avoir droit à l'esthétique, au raffinement et à la souplesse.

Ne te fie point à une eau tranquille ni à un homme qui se tait.

C'est par le réel qu'on vit ; c'est par l'idéal qu'on existe. Or, veut-on se rendre compte de la différence ? Les animaux vivent, l'homme existe.

Ce qui monte doit redescendre.

L'homme qui traverse la rivière ne doit pas se moquer de celui qui se noie.

Le rire pour défendre joyeusement ces notions qu'on ne doit jamais perdre de vue et qui sont sur les frontons de nos bâtiments officiels.