Citation de Ludwig Wittgenstein sur Monde et Lieu

Quelle chose merveilleuse serait la société des hommes, si chacun mettait de son bois au feu, au lieu de pleurnicher sur des cendres !

Je suis désormais à l'approche de deux rives désirées : le monde réel qui n'est pas toujours exaltant et celui, bien plus fréquentable, d'un imaginaire prrmanent.

Le problème en ce bas monde est que les imbéciles sont sûrs d'eux et fiers comme des coqs de basse cour, alors que les gens intelligents sont emplis de doute.

Le monde extérieur est impitoyable, pourtant, sous les montagnes de paille, sont enfouis des grains précieux pour la confection du pain de la vie.

J'ai lu, écris, et écouté de la musique depuis mon enfance. Mes parents étaient de vrais rats de bibliothèque. Ils avaient lu tout ce qui est possible de lire dans le monde entier. Ils m'avaient communiqué leur passion donc j'étais toujours curieux des choses de l'esprit.

Ah ! Que le monde est donc mal fait, et pourquoi faut-il que certains êtres finalement deviennent cibles pour avoir été trop points de mire !

Nous portons tous en nous des lieux d'exil, nos crimes, nos ravages. Notre tâche n'est pas de les déchaîner sur le monde ; c'est les transformer en nous et chez les autres.

Ce n'est pas l'instinct, mais l'éducation qui pousse à nier le mal au lieu de se blinder contre lui.

L'extrême droite et les islamistes ont un intérêt commun : couper la société en deux camps.

Nous devons à nos enfants d'être de meilleurs intendants de l'environnement. L'alternative? - un monde sans baleines. C'est trop terrible à imaginer.

Si le cinéma est le reflet d'une société alors la nôtre doit être peuplée de cas cliniques.

Une société basée sur l'argent ne peut prétendre à la grandeur ou à la justice.

Mon inspiration s'est toujours appuyée sur la réalité quotidienne. J'ai toujours été fidèle à mon temps, à mon époque.

Le bien que vous faites aujourd'hui peut être oublié demain. Faites du bien quand même. Donnez au monde ce que vous avez de meilleur et cela risque de ne jamais suffire. Donne ton meilleur quand même. Car vous voyez, à [...] ► Lire la suite

Il est impossible de vivre dans le monde sans jouer de temps en temps la comédie.

Dans le malheur, pour autant qu'on le peut, le courage tient lieu de soleil.

La société américaine fonctionne comme ses films d'action : il leur faut un ennemi désigné.

La Chine a ouvert ses portes. Plus on est de fous, moins y'a de riz.

Tu n'es jamais en sécurité. Peu importe qu'il y ait beaucoup de monde autour de toi, peu importe que l'endroit te paraisse tranquille, peu importe ce qu'on te dit, peut importe ce que tu crois. Tu n'es jamais en sécurité.

Le monde tourne, c'est tout. On peut s'accrocher et tourner avec, ou se lever pour protester et se faire éjecter.

Le monde m'est nouveau à mon réveil, chaque matin.

Je crois que notre société industrielle souffre d'un malaise fondamental, qui est d'ordre moral et politique et se résume à ceci que l'individu n'a de pouvoir que dans le rôle irresponsable du consommateur.

Le poète est passé ; au milieu du silence s'organise un concert, comme un lilas ; une pensée se pense, le monde s'est ouvert.

Il y en a trois qui se partagent le monde de leurs sectes et de leurs doctrines : Moïse, Jésus, Mahomet ; Moïse, le premier rendit fous les juifs ; Jésus les chrétiens ; Mahomet les païens.

Marx, Darwin et Freud sont les trois ennuyeux les plus fracassants du monde occidental. La vulgarisation simpliste de leurs idées a jeté notre monde dans un carcan mental dont nous ne pouvons sortir que par la violence la plus anarchique.

Vis à la campagne pour toi, au lieu de vivre à la ville pour les autres.

C'est avoir fait un bien grand pas dans la sagesse que de ne pas avoir besoin de société le soir.

Offrir des fleurs pour la Saint-Valentin à ma bien-aimée, c'est un manque de respect ! Il n'y a pas en ce monde une seule fleur qui ne puisse l'égaler, ni même une rose aussi belle que sa beauté.

Le monde change quand nous changeons.

Au lieu d'instinct, ne vaudrait-il pas mieux parler d'une fabuleuse pression sociale pour que la femme ne puisse s'accomplir que dans la maternité ?