Proverbe Français sur Vivre, Rome et Coutumes

La vie c'est du mouvement, c'est des soupirs...

Que vaut l'amitié si elle n'est présente ni au moment des malheurs ni au moment des bonheurs ? Pourquoi est-ce dans ces moments extrêmes de la vie où l'on a le plus besoin d'eux que nos amis nous abandonnent ? [...] ► Lire la suite

Pour moi, la vie d'un agneau n'est pas moins précieuse que celle d'un être humain.

Je croyais que la plus belle vie au monde c'était de vendre la came et de conduire des belles bagnoles.

Résistance : Mot inventé pour éviter aux hommes de vivre à genoux.

Le plus beau présent de la vie est la liberté qu'elle vous laisse d'en sortir à votre heure.

Le seul masque autorisé dans la vie est pour cacher ses propres douleurs derrière un sourire.

Les coutumes et les modes des hommes changent comme des feuilles sur la branche, dont certaines s'en vont et d'autres viennent.

Il faut me retirer de ce milieu, après quatorze ans, aujourd'hui d'une vie pareille, je réclame la liberté à grands cris.

La vie est une longue blessure qui s'endort rarement et ne guérit jamais.

Étalée partout, la bureaucratie doit être la classe invisible pour la conscience, de sorte que c'est toute la vie sociale qui devient démente.

La douleur, vous devez arriver à la surmonter,

Espérer qu'elle disparaisse d'elle-même,

Espérer que la blessure qui l'a causée se referme.

Il n'y a pas de solution, pas de remède miracle,

Vous devez respirer à fond, et attendre qu'elle s'estompe.

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La vie est toujours un test.

Vous savez, j'ai passé un contrat avec mon chien. Je vais vivre jusqu'à 102 ans.

Même s'il arrive à certains humains de se conduire bestialement, les chiens continuent de demeurer des bêtes.

J'ai remarqué que quand on est triste ou qu'il y a une mauvaise nouvelle, la vie autour ne change pas. Comme le jour où mamie est morte, j'étais dehors, et il y avait du vent, et quand on m'a dit [...] ► Lire la suite

J'ai commencé à vivre véritablement à 20 ans. Avant, j'étais en veille. J'observais.

Il n'y a pas de mots. Toutes mes pensées vont aux victimes, à ceux qui luttent encore entre la vie et la mort,...

Comme je représentais le sauvage sur scène, j'essayais d'être la plus civilisée possible dans la vie de tous les jours.

Le terrible des morts, c'est leurs gestes de vie dans notre mémoire. Car alors, ils vivent atrocement et nous n'y comprenons plus rien.

Aimer tout et tous, se sacrifier toujours à l'amour, signifie qu'on n'aime personne, qu'on ne vit pas de la vie terrestre.

Le pape ? Combien de divisions ?

La joie de vivre ne s'achète ni au supermarché ni même dans les magasins de luxe.

Remplir sa journée, remplir son devoir conjugal, on sait précisément ce que sait. Mais remplir sa vie ?

Il est, dans la vie des hommes, des heures où la tension des événements semble répondre à celle de notre âme.

Vous voulez vous aimer : aimez-vous donc dans les autres ; car votre vie est dans les autres, et sans les autres votre vie n'est rien.

Mourir en se vengeant vaut mieux que vivre dans la honte.

La vie vaut la peine d'être vécue, mais pas d'être discutée tout le temps.

La vie ne représente une richesse que si on la dilapide.

Notre vie n'est précieuse que parce que nous avons le pouvoir d'en disposer, et que nul ne peut jamais exercer ce pouvoir à la place d'un autre, telle est la terrible économie de notre existence !