Citation de Thérèse Amiel sur Nature, Intelligence et Femmes

J'aurais aimé les hommes en dépit d'eux-mêmes.

Il n'y a que la main d'un ami qui arrache l'épine du coeur.

La plupart des hommes emploient la meilleure partie de leur vie à rendre l'autre misérable.

C'est ce qui divise les hommes qui multiplie leurs différends.

Il n'y a ni Russes, ni Anglais, ni juifs, ni chrétiens. Il n'y a que des hommes poursuivant un même but, devenir capable d'être.

La science, la morale, l'histoire se passent très bien de Dieu. Ce sont les hommes qui ne s'en passent pas.

L'orgueil est odieux devant Dieu et devant les hommes et toute iniquité des nations est exécrable.

L'homme est une intelligence desservie par des organes.

Les choses changent. Mais si vite... Est-ce que les habitudes des hommes pourront suivre ?

Les hommes célibataires devraient être plus lourdement taxés que les hommes mariés. Ce n'est pas juste que des hommes soient plus heureux que d'autres.

Je sais que les hommes naissent libres et égaux en droit, mais ça ne dure pas longtemps !

Un vrai chef ne paraît pas martial. Qui sait se battre ne s'emporte pas. Qui saura vaincre évitera d'affronter. Qui saura manier les hommes s'abaissera...

Si les impuissants savaient combien la nature fut maternelle pour eux, ils béniraient le sommeil des glandes et le vanteraient aux coins des rues.

Disons donc ainsi, qu'à l'homme toutes choses lui sont comme naturelles, à quoi il se nourrit et accoutume ; mais cela seulement lui est naïf, à quoi la nature simple et non altérée l'appelle : ainsi la première raison de la servitude volontaire, c'est la coutume.

Nul effet provenant de la raison ne peut durer toujours, parce que les désirs des hommes changent suivant les influences du ciel.

Les hommes parlent aux femmes pour pouvoir coucher avec elles ; les femmes couchent avec les hommes pour pouvoir parler avec eux.

La nature donne toujours la mort.

Le théâtre, c'est la passion des hommes et la délibération des citoyens assemblés dans le tourment de la représentation.

L'esclavage a ses bons côtés. Le tyran ne peut affirmer qu'il règne en maître sur des hommes libres.

Accepter les risques inévitables de la vie, c'est ce qui fait la noblesse de la condition humaine.

Dieu a dit : il y aura des hommes blancs, il y aura des hommes noirs, il y aura des hommes grands, il y aura des hommes petits, il y aura des hommes beaux et il y aura des hommes moches, et tous seront égaux mais ça sera pas facile...

Il ne suffit pas que les messages et les informations circulent vite pour que les hommes se comprennent mieux.

Par la parole, je n'irai jamais bien loin, parce que je manque de confiance, de mémoire et de présence d'esprit ; mais ma plume a assez de dialectique pour faire honte à certains de nos hommes d'État.

Les hommes à qui l'on parle ne sont point ceux avec qui l'on converse.

Un véritable ami vous poignarde en face.

Je pense que dans l'amitié, vous voulez être là pour votre ami et parfois vous ne savez pas quoi faire ou la relation que vous entretenez avec eux n'est pas assez claire pour que vous sachiez quoi faire.

Tandis qu'à leurs oeuvres perverses, Les hommes courent haletants, Mars qui rit malgré les averses, Prépare en secret le printemps.

En donnant la liberté aux esclaves, nous assurons celle des hommes libres.

J'ai vraiment essayé d'adopter cette sensibilité britannique toute flegmatique. J'ai essayé, j'ai vraiment essayé, mais je crois que ce que cela provoque à l'intérieur est sans doute véritablement nocif.

Il y a comme cela des hommes de caractère si fâcheux et si faciles à irriter, qu'il vaudrait mieux les ignorer complètement que de les avoir pour amis.