Citation de Jean-Jacques Rousseau sur Hommes, Foi et Beaucoup

Ces guerres. Un moment dans l'histoire des hommes où la bêtise se fait plus grande, où une partie de l'humanité refait son plein de vertus guerrières et de courage exalté pendant que l'autre dénonce les génocides.

Le travail est la prière des esclaves ; la prière est le travail des hommes libres.

La confiance absolue est quelque chose de difficile à atteindre même dans une famille, et c'est beaucoup plus difficile à atteindre au niveau international.

Les hommes appellent "filles" des femmes à qui ils n'ont eu le courage ou l'esprit de donner ni le titre de mères, ni celui d'épouses, quoiqu'ils leur en fassent tenir l'emploi.

Les pauvres. Ce sont les hommes les plus persecutés de la terre.

Le théâtre rend aux hommes la tendresse humaine.

Loin que nous entretenions l'absurde pensée d'anéantir la religion, l'éducation, la propriété, le travail et les arts quand nous demandons que l'Etat protège le libre développement de tous ces ordres d'activité humaine, sans les soudoyer aux dépens les uns des [...] ► Lire la suite

Au pire des passions les hommes conservent un sens de l'équité qui manque aux femmes. Celles-ci, même scélérates, sont toujours intimement convaincues qu'elles ont raison. De là leur supériorité dans le combat.

Les hommes ne peuvent être réellement libres que dans leurs rêves.

Les hommes doivent accepter qu'à tout moment, sans raison précise, on puisse les ramener à cette forme absolue de modestie qu'est la mort.

Les huîtres et les hommes font tous les deux semblant d'être durs à ouvrir.

Les femmes ont leurs affaires, les hommes aussi, mais ce ne sont pas les mêmes.

Le crédit est constitué par une confiance complaisante ou mal éclairée.

Comme les hommes sont quelquefois méchants, mettez-vous en état de faire du mal, seulement afin qu'on n'ose pas vous en faire.

Comme ils me paraissent lourds, tous ces hommes en foule à l'opinion indécise.

Les hommes ne semblent perfectibles qu'en tant qu'automates, non en tant que sujets libres.

Si les écrivains étaient des hommes d'affaires efficaces, ils auraient trop de bon sens pour être écrivains.

Les femmes, quelles qu'elles soient, considèrent les hommes quels qu'ils soient comme fous...

Les hommes n'ont jamais de remords des choses qu'ils sont dans l'usage de faire.

Tous les hommes dépendent les uns des autres. La solidarité humaine est la condition nécessaire à l'épanouissement de tout individu.

Une fille, brave fille, deux filles, assez de filles, trois filles, avec la mère, quel tourment pour un père.

Les hommes ne tiennent compte que de leurs besoins, jamais de leurs capacités.

Les hommes de lettres ont fait le tour des idées, et ils finissent par se marier avec de pauvres petits bouts de femmes laides.

La vie prend aux hommes beaucoup trop de temps.

Un petit sanglot est juste ce que l'on doit entendre des hommes à la veille de l'éternité.

Il faut se demander ce qui porte le plus gravement atteinte à l'âme des hommes d'aujourd'hui : leur passion aveuglante de l'argent ou leur hâte fébrile ?

Un peuple qui ne sait plus interpréter ses propres signes, ses propres mythes, ses propres symboles, devient étranger à lui-même, perd foi en son destin.

Les hommes pratiquent le stress comme si c'était un sport.

Toute société qui prétend assurer aux hommes la liberté, doit commencer par leur garantir l'existence.

Le monde est las des hommes d'État que la démocratie a dégradés en politiciens.