Citation de François Mauriac sur Bien, Vivre et Peuple

Pas à pas on va bien loin.

L'optimisme c'est aussi de dire qu'il y a de la tristesse dans la vie, du malheur. Dire que tout va bien, que tout va bien se passer, ce n'est pas de l'optimisme, c'est de la bêtise.

En fumant, vous abrégez votre vie, me dit-on. Je fume depuis l'âge de dix-huit ans, j'en ai soixante-cinq, si je n'avais pas fumé, j'en aurais soixante-dix. Je serais bien avancé !

Une maison n'est pas un chez-soi à moins qu'il n'y aie de la nourriture et du feu pour l'esprit aussi bien que pour le corps.

Je crois au génie du peuple tant que les médias de masse ne l'abrutissent pas pour le transformer en masse abêtie.

Contre la mort nul ne peut se défendre.

En dehors de l'homme, il n'y a ni bien ni mal.

Le Futur est mort en 2000.

Quand un grand fait des bassesses, il compte bien s'en dédommager par des hauteurs.

Chaque guerre augmente l'image d'une guerre globale, celle d'un conflit de civilisation.

Que Dieu protège l'homme qui refuse de se marier tant qu'il n'a pas trouvé la femme parfaite... et que Dieu l'aide bien davantage encore quand il l'aura trouvée.

On n'est malheureux que parce qu'on a une idée trop nette sur le bien et le mal.

J'étais noire et je grandissais dans un quartier entièrement blanc. Je me sentais comme si je n'étais tout simplement pas à ma place. Comme si je n'étais pas aussi bien que tout le monde, ni aussi intelligente, ou autre.

Je peux vivre avec mes propres erreurs. Je ne peux pas vivre avec quelqu'un d'autre.

Il y a l'autre fainéant, le fainéant bien malgré lui, qui est rongé intérieurement par un grand désir d'action, qui ne fait rien parce qu'il est dans l'impossibilité de rien faire, puisqu'il est comme en prison dans quelque chose.

Les gens qui cessent de croire en Dieu ou en tout ce qui incarne le bien continuent de croire au diable. Je ne sais pas pourquoi. Non, vraiment, je ne vois pas pourquoi. Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile.

Si vous en prenez bien soin, votre corps vous durera toute votre vie.

En cas de doute, tout va bien avec une chemise blanche.

La guerre est un fruit de la dépravation des hommes ; c'est une maladie convulsive et violente du corps politique ; il n'est en santé, c'est-à-dire dans son état naturel, que lorsqu'il jouit de la paix.

La guerre est une affaire d'une importance vitale pour l'État.

Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru frappez-en les coups. Puis, quand vous les avez dominés, enchainez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est [...] ► Lire la suite

La guerre est un drame passionné et non une science exacte.

Pourquoi s'en faire avec la mort quand la vie nous donne déjà bien assez de soucis comme ça ?

Elle voulait l'amour mais j'avais que la mort à donner, j'suis bien dans ses bras mais il faut que j'retourne charbonner.

Ne réponds pas au bien par le mal Ne confonds pas une chose avec une autre.

C'était bien la prison ? T'as reçu mes cookies ?

Il vaut bien mieux avoir de l'imagination que de la mémoire.

Nous ne sommes pas des êtres humains venus vivre une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels venus vivre une expérience humaine.

Je m'étonne de tomber dans l'angoisse et pourtant ! Je ne cesse de jouer : c'est la condition de l'ivresse du coeur. Mais c'est mesurer le fond nauséeux des choses : jouer c'est frôler la limite, aller le plus loin possible et vivre sur un bord d'abîme !

S'il y a des hommes dont le ridicule n'ait jamais paru, c'est qu'on ne l'a pas bien cherché.