Proverbe Indien sur Coups, Vache et Accepter

L'étalon ne sent pas les coups de pied de la jument.

Proverbe pour les puissants : si quelqu'un te lèche les bottes, mets-lui le pied dessus avant qu'il ne commence à te mordre.

Aimer est exceptionnel. Ne pas aimer est la règle. Accepter cette règle devrait donner un début de bonheur.

La société accepte des automobiles des risques qu'elle ne tolère avec aucune arme.

Il faut accepter l'amour avec tout son cortège de souffrances, parce que l'amour ne vient pas sans souffrance, et c'est par là qu'il est grand !

Ce doit être cela la maturité, sentir ses chaînes tout à coup et les accepter parce que fermer les yeux ne les abolit pas.

Nu je suis né, nu je mourrai.

L'amitié : c'est accepter chez les autres ce que l'on ne tolère pas chez soi.

Si tu veux le chien, accepte les puces.

La première condition pour être heureux est de se croire indispensable au bonheur d'un autre ; cela fait accepter la vie.

En espadrilles, on est tout juste assez civilisé pour tutoyer le globe, sans l'appréhension rétive du pied nu méfiant, sans l'excessive assurance du pied trop bien chaussé.

Sarkozy, faut lui marcher dessus. Et du pied gauche, ça porte bonheur.

Un acteur doit interpréter la vie et, pour ce faire, il doit être prêt à accepter toutes les expériences que la vie peut offrir.

Autant que possible, la confiance, c'est aussi cela : apprendre à accepter le monde et les autres comme imparfaits. Et la confiance lucide consiste à ne pas se mettre en position de dépendre et de souffrir de leurs imperfections.

Il est des douleurs devant lesquelles une amie véritable ne peut rien offrir de meilleur qu'un silence compatissant.

Un académicien, c'est un type qui a un pied dans la tombe et qui écrit avec l'autre.

Je suis une grande partisane de vous accepter comme vous êtes et de ne pas vous en inquiéter.

L'esprit humain possède une capacité remarquable à accepter la bizarrerie.

Accepter de dépendre de quelqu'un c'est accepter sa faiblesse, c'est s'accepter, c'est accepter d'aimer assez fort.

Les préjugés et le sectarisme sont abattus... par la force même de la détermination des individus à réussir et le refus d'un être humain de laisser les préjugés définir les paramètres du possible.

Au moins, quand la femme est riche et que l'amant ne l'est pas, ce qu'il ne peut lui offrir elle se l'offre elle-même ; et quoique ce soit ordinairement avec l'argent du mari qu'elle se passe cette jouissance, il est rare que ce soit à lui qu'en revienne la reconnaissance.

Un nu bien fait n'est jamais perdu.

Devrait-on accepter de dire que tout meurtre, toute transgression du "Tu ne tueras point " ne peut viser que l'homme, et qu'en somme il n'y a de crime que "contre l'humanité" ?

La pensée doit commencer par un refus de la vie. La première pensée claire, c'est la pensée du néant.

Le refus de vieillir, ce n'est pas seulement l'obstination à garder un corps jeune, c'est parfois une mentalité inapte à maturation.

Un beau nu peut faire un vieux tableau, mais pas réciproquement.

La patrie, c'est toutes les promenades qu'on peut faire à pied autour de son village.

Si nous raisonnons en fonction de ce que les grands bourgeois sont prêts à nous laisser, nous ne pourrons jamais nous en sortir. Nous faisons tourner l'économie, il nous faut exiger notre dû et ce qu'il nous faut pour vivre !

Il faut accepter les déceptions passagères, mais conserver l'espoir pour l'éternité.

Quand j'ai épousé Nathalie, je pensais vraiment que ce serait jusqu'à la fin de nos jours, que rien ne nous séparerait. C'était mon rêve. Mais ça n'a pas été le cas, la vie a changé. Nathalie a voulu divorcer et [...] ► Lire la suite