Citation d'Alphonse Karr sur Femmes, Elles et Trompent

Ceux qui s'appliquent à faire le mal se trompent ; c'est la miséricorde et la vérité qui nous acquièrent les biens.

Les Italiens vivent bien. Ils ont des problèmes, comme tous les pays, mais ils sont bien habillés, les femmes sont jolies.

Mon époux est un soutien essentiel.

Qui on épouse n'a guère d'importance : le lendemain matin, on trouvera toujours que c'est quelqu'un d'autre.

Un septuagénaire peut toujours courir après les femmes à condition de ne pas les attraper.

La gentillesse et la bonté ne sont pas des choses avec lesquelles vous naissez : elles résultent d'un choix.

Les femmes britanniques ne savent pas cuisiner.

Il y a les femmes avec qui on fait l'amour et celles avec qui l'on en parle.

Les hommes disent des femmes tout ce qu'il leur plaît, les femmes font des hommes tout ce qu'elles veulent.

On sort avec des actrices, on ne les épouse pas.

Présenter aux femmes des motifs pour excuser leurs fautes, c'est le plus sûr moyen de leur en faire commettre.

Les roses ne sont pas à plaindre... Au moins, elles ne savent pas, elles, qu'elles se faneront.

Les femmes et les médecins savent seuls combien le mensonge est nécessaire et bienfaisant aux hommes.

Les femmes choisiront toujours pour mari le plus riche de leurs prétendants, et elles ont raison, car l'amour est un enfant gâté, et le gueux ne saurait satisfaire ses fantaisies.

La science va vite et droit en son chemin ; mais les représentations collectives ne suivent pas, elles sont des siècles en arrière, maintenues stagnantes dans l'erreur par le pouvoir, la grande presse et les valeurs d'ordre.

Les civilisations se succèdent, elles naissent, elles s'effacent et laissent place à d'autres : mais elles ne meurent jamais tout à fait.

Quand deux blessures se rencontrent elles se referment l'une sur l'autre.

Je voyais des hommes audacieux, des femmes libres que la vie à deux avait démobilisés, affadis, dont la cohabitation avait émoussé l'acuité. Je haïssais le mimétisme des concubins, leur docilité à adopter les défauts du conjoint, leur complicité gluante et jusqu'à leur trahison qui les unit encore.

Les femmes sont si avides d'émotions que la plupart d'entre elles préfèrent le malheur à la tranquillité.

Devenir père, lorsqu'on a épousé une femme de qui a déjà des enfants, c'est de la communauté réduite aux acquêts.

Tartarin racontait ses amours avec la princesse Likiriki, et leur séparation déchirante. Il savait que les femmes aiment à consoler, et que porter ses chagrins de coeur en écharpe est la meilleure façon de réussir auprès d'elles.

La chasse aux femmes est un sport passionnant. Les ennuis commencent dès qu'on en a attrapé une.

La femme est faite pour un homme, l'homme est fait pour toutes les femmes : elle commence à aimer, quand lui, il a fini...

Les femmes n'ont vraiment goûté le plaisir de leur amour que quand elles l'ont enfin raconté par le menu.

Il y a deux femmes dans la femme. La première est un animal, doux, dévoué par nature ; la seconde un animal fou, méchant, trouvant un âpre plaisir aux souffrances de ce qui lui est associé dans la vie.

Naturellement, et par une de ces lois providentielles où le droit et le fait se confondent, le droit de suffrage n'appartient pas aux femmes. La Providence a voué les femmes à l'existence domestique.

Les choses n'ont pas de signification : elles ont une existence.

Comme un aimant, les étrangères attirent sur elles les pierres précieuses, les manuscrits rares, les plus belles fleurs, et les mains des maris.

Avec les ans, les hommes acquièrent du charme et les femmes de l'âge.

Nous n'aimons de façon sentimentale que les femmes de nos rêves, de nos sommeils, celles qui déposent dans notre coeur une petite fleur bleue qui vit encore une heure, une matinée après notre réveil.