Citation de René Char sur Vie, Rêvé et Deux

Jusqu'à ce que nous puissions comprendre la beauté séduisante d'une seule fleur, nous sommes malheureusement incapables de saisir le sens et le potentiel de la vie elle-même.

Dans la salle d'attente, Bill avait l'impression de vivre un cauchemar. Il alla voir Lily juste avant qu'on la monte au bloc opératoire. Il se pencha pour l'embrasser sur le front et les larmes qu'il ne pouvait plus retenir tombèrent sur le visage de sa fille.

Il vaut mieux l'enfer qu'une femme. Tous les deux nous font souffrir mais, au moins, l'enfer nous tient chaud !

La vie d'une diva n'est pas une vie. Vivre avec une diva non plus !

Il est deux femmes qu'il faut saluer avec un infini respect : la vierge volontaire et la mère de famille accomplie.

Il faut être deux pour être un dans l'oubli du monde, de soi pour l'autre, et se fondre dans la lumière, sans ombre.

Il me faut maintenant consacrer ma vie à la puissance et à l'argent, pour essayer d'oublier que nous manquons tous d'amour.

Le tout c'est qu'on s'explique dans la vie ; à deux on y arrive mieux que tout seul.

J'refuse d'être traité comme une merde pour un salaire de merde, j'refuse de perdre mon amour sous prétexte que c'est la vie, qu'on peut rien y faire, j'refuse de croire que ma passion doit forcément rester un loisir et que je peux pas en vivre. La vie c'est ça et ça, pas ça ou ça.

Pris dans un tourbillon de hâte et d'agressivité, nous vivons notre vie dans le conflit et l'angoisse ; nous sommes emportés par la compétition, l'avidité, le désir de possession et l'ambition. Nous nous chargeons sans répit d'occupations et d'activités superflues.

La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.

Les grandes souffrances qui peuvent délabrer à jamais une vie affective ne se rencontrent que chez ceux qui connaissent la passion.

- Tu fais quoi pour Noël ?
- Je prends deux kilos.

Seuls les conservateurs ne rêvent pas. Nous, pour changer le monde, nous avons besoin du rêve pour lutter, ensemble. Tous ensemble.

Il y a trois périodes dans la vie d'un homme : celle où il travaille pour les autres, celle où il travaille pour lui et celle où il fait travailler les autres.

La vie dangereuse est là, au milieu des miracles.

Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité !

Les grands hommes meurent deux fois : une fois comme homme, et une fois comme grand.

Les idiots ont autant de mérite à parler sans intelligence que les jolis et les beaux à vivre sans difformités.

Un poème est un mystère dont le lecteur doit chercher la clef.

C'est la capitale qui, surtout, fait les moeurs des peuples ; c'est Paris qui fait les Français.

En vérité, le relativisme sexuel comme principe politique est un leurre. Hommes et femmes ne constituent pas deux blocs séparés. D'une part, on ne vote pas en fonction de son sexe, mais de ses intérêts et de son idéologie. D'autre [...] ► Lire la suite

Vous ne verrez jamais deux bons acteurs aborder un rôle de la même manière.

Je ne veux pas que la vie se mette à avoir d'autres volontés que les miennes.

Oui, souris à tes rides, apprends à les aimer, elles parlent de ta vie ; elles parlent du temps, de l'énergie qui circule.

La vie n'est pas mesurée par les respirations que l'on prend mais par les moments qui vous coupent le souffle.

Le pouvoir est un goût partagé autant par les hommes que par les femmes. Tous les hommes n'ont pas envie de pouvoir, toutes les femmes non plus. Mais cela appartient aux deux sexes, bien sûr.

Une misérable vie vaut mieux qu'une belle mort !

La médecine moderne a forgé le terme de mythomanie, qui qualifie ce genre de blague. Mythomane si l'on veut, Aicard aura mené dans l'existence une singulière et fructueuse comédie. Il aura fait croire aux Parisiens gobeurs qu'il était célèbre en [...] ► Lire la suite

Comme dans un joli conte de Noël. S'imaginer que toute le vie peut se passer comme ça, avec entre pleins de moments de bonheurs, quelques moments difficiles à passer. Mensonge héroïque des gens qui baissent jamais les bras.