Citation de John Vanbrugh sur Femme, Coeur et Reste

Une femme n'aime jamais qu'un seul homme. Mais elle lui donne plusieurs noms.

Et mon âme à genoux, devant leur trinité,
Râle, en claquant des dents, ses hontes, sa misère.
Et leur voix n'a plus rien des pitiés de la terre,
Et les trous de leurs yeux sont pleins d'éternité.

Milena. Quel nom riche et lourd, presque trop plein pour être soulevé... Sa couleur, sa forme est celle, merveilleuse d'une femme, une femme que l'on transporte dans ses bras en fuyant le monde ou en fuyant l'incendie.

Nous n'aimons de façon sentimentale que les femmes de nos rêves, de nos sommeils, celles qui déposent dans notre coeur une petite fleur bleue qui vit encore une heure, une matinée après notre réveil.

La femme se débat comme la mouche dans le petit-lait, personne ne la voit.

D'une langueur la nuit s'enivre,
Et notre coeur qu'elle délivre
Du monotone effort de vivre
Se meurt d'un trépas langoureux.

Une fois ceux que j'aime en sûreté, qu'importe le reste : un grenier, un lit de sangle, une chaise de paille, une table et de quoi écrire, cela me suffit.

Je vous le demande en votre âme et conscience : sans la peine de mort, est-ce la peine de vivre ?

La femme doit cesser de se considérer elle-même comme l'objet de convoitise de l'homme.

Il n'y a que deux maux bien réels dans le monde : le remords et la maladie ; le reste est idéal...

Les stéréotypes de l'homme viril et de la femme féminine sont pulvérisés. Il n'y a plus un modèle obligatoire mais une infinité de modèles possibles. Chacun tient à sa particularité, à son propre dosage de féminité et de masculinité.

On ne peut pas donner son coeur à une bête sauvage; plus on essaie, plus elle reprend des forces. Jusqu'à ce qu'elle en ait assez pour se sauver dans les bois, ou pour s'envoler en haut d'un arbre. Puis d'un [...] ► Lire la suite

J'ai été marié trois fois. La première, j'étais trop jeune. La deuxième, j'étais trop bête. Le troisième fois, j'ai épousé une femme qui vient d'une culture différente, plus stricte. J'ai appris des choses, la tolérance, notamment. Je ne dirais pas [...] ► Lire la suite

Tantôt le coeur est le moteur du sexe, tantôt le sexe du coeur. On ne le distingue qu'au moment des pannes.

Un coeur n'est juste que s'il bat au rythme des autres coeurs.

C'est un mauvais signe dans le ciel conjugal quand la femme dont le mari a toujours fumé s'aperçoit qu'il sent le tabac.

Tyler  : Elle avait fait un portrait d'toi. Elle avait fait un portrait de toi et t'étais pas là !

Charles Hawkins  : Dis ce que t'as à dire...

Tyler  : Tu as une fille... qui croit sincèrement au plus profond [...] ► Lire la suite

Une âme peut se dire généreuse, quand elle prend plus de plaisir à donner qu'à recevoir.

Les yeux sont les miroirs du corps, ils en disent beaucoup plus long sur l'état de nos viscères que sur celui de notre âme ou de notre esprit.

L'important c'est de se sentir heureux, d'extérieure, la vie devient intérieure, son intensité reste la même et vous savez, c'est bizarre où le bonheur de vivre va parfois se nicher.

S'inquiéter ne vous mène nulle part. Si vous vous inquiétez de votre performance, vous avez déjà perdu. Entraînez-vous dur, montez, courez de votre mieux et le reste prendra soin de lui-même.

Le vrai ciel, c'est celui que vous voyez au fond de l'eau.

Tellement orgueilleuse que, lorsqu'elle commettait une erreur, elle disait : "Je suis vraiment la femme la plus bête du monde ! "

Une femme peut mettre ses fards en veilleuse quand elle a de beaux yeux pour éclairer son visage.

Le coeur des hommes est une bibliothèque où s'alignent les romans tragiques, les idylles, les livres gais et aussi quelques livres légers : une bibliothèque rangée sans ordre apparent, mais complète.

La solidarité n'existe pas : n'existe qu'une coalition d'égoïsmes. Chacun reste avec les autres pour se sauver soi-même.

Qui maudit son père et sa mère verra s'éteindre sa lampe au coeur des ténèbres.

La neutralité c'est une chose qu'on trouve dans les discours, pas dans le coeur des gens.

Le sens de la vie, c'est ce qui reste quand on se débarrasse de tout ce qui est absurde.

Les êtres humains ont souvent à coeur de se singulariser par de subtiles et déplaisantes variations, défectuosités, traits de caractère... - sans doute dans le but d'obliger leurs interlocuteurs à les traiter comme des individus à part entière.