Citation de Victor Hugo sur Mal, Opiniâtre et Stérile

La politesse et la franchise marchent de front, là où l'une est déplacée l'autre l'est également. Alors, il ne reste que le silence, cette frêle cloison entre la chose mal cachée et la chose mal dite, entre le mensonge maladroit et le mensonge nécessaire.

Mettez-vous à la place des autres. Si vous y arrivez, vous ne serez plus capable de faire du mal à autrui.

Il faut se donner de la peine quand on veut réussir.

J'aime être une pin-up. Il n'y a rien de mal à ça.

Au fond, quelle différence y a-t-il entre mourir brûlé et attendre que le temps allume cet autre bûcher qu'est la vieillesse, la maladie ?

Un homme ouvrit un commerce de cercueils d'occasion. L'idée était originale. Mais il avait du mal à s'approvisionner.

L'homme révolté ne veut pas nécessairement le mal de l'autre. Son désir de vengeance peut être une protestation contre un désordre, une excitation pour le maintien de la justice du bien.

Il y a des limites sévères au bien que le gouvernement peut faire pour l'économie, mais il n'y a presque aucune limite au mal qu'il peut faire.

Il n'y a rien de mal à avoir peur. Ce n'est pas l'absence de peur, c'est la surmonter. Parfois, vous devez passer à travers et avoir la foi.

La croyance en une origine surnaturelle du mal n'est pas nécessaire. Les hommes sont à eux seuls capables des pires atrocités.

Rares sont les hommes qui additionnent les bonheurs. C'est à peine s'ils peuvent s'approcher d'une femme à la fois.

À mal enfourner, on fait les pains cornus.

Rien ne fait plus de mal à la beauté que le désir et l'argent.

Que nul, par colère ou par haine, ne souhaite du mal à un autre.

On ne peut vaincre le mal que par un autre mal.

Une secte ou un parti est un élégant recours à l'incognito pour épargner à un homme la peine de penser.

Savez-vous pourquoi Dali est contre la peine de mort ? Il me l'a dit l'autre jour. C'est parce qu'il est partisan de la torture, une très longue torture.

J'ai un mal de crâne qui filerait la migraine à un Doliprane.

La vie est une maladie dans laquelle le sommeil nous apaise toutes les seize heures ; c'est un palliatif ; la mort est le remède.

Le bien que nous avons reçu de quelqu'un veut que nous respections le mal qu'il nous fait.

J'ai mal dans ma peau, je me sens nulle, zéro, inutile sur cette planète, je me fais honte au fond de moi. Je repousse toute idée d'indépendance, la vie me fait peur. C'est comme si cette peau n'était plus la mienne.

La religion n'est pas affaire de croyance mais un instrument d'unification, un ciment spirituel impliquant une morale du bien et du mal.

Le mal fait supporter les médicaments.

J'essaie tant bien que mal que tout soit différent d'un film à l'autre.

Utiliser contre les terroristes la peine de mort, c'est, pour une démocratie, faire sienne les valeurs de ces derniers.

Je crois à l'amour, je crois à la beauté, je crois à la justice, je crois malgré tout que dans cette terre le bien l'emporte sur le mal et que les hommes créeront Dieu.

La morale commence là où aucune punition n'est possible, là où aucune répression n'est efficace, là où aucune condamnation, en tout cas extérieure, n'est nécessaire.

La patience adoucit tout mal sans remède.

Quand je vois que les Français seraient favorables au rétablissement de la peine de mort ! Ils sont tapés.

Une crise de nerfs n'est pas une opinion.