L'espoir des hommes, c'est leur raison de vivre et de mourir.
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Cette phrase possède 13 mots. Elle est considérée comme 1 citation très courte.
Le chemin est court qui va de la crainte à la haine.
Je me bats toujours. Je ne sais pas combien de temps encore, mais je continue de lutter, une lutte qui consiste à faire vivre le cinéma et pas seulement à faire un autre film.
La mer, le grand rassembleur, est le seul espoir de l'homme. Maintenant, comme jamais auparavant, l'ancienne phrase a un sens littéral: nous sommes tous dans le même bateau.
Ne souhaite pas tant vivre longtemps que bien vivre.
Commencer par une liberté illimitée, c'est finir par un despotisme illimité.
La peine de mort infligée aux criminels peut être envisagée à peu près sous le même point de vue : c'est pour n'être pas la victime d'un assassin que l'on consent à mourir si on le devient.
C'est si dur, à la fois, d'être et vivre ! Mais, l'être doit être au plus près de ce qui est que de ce qu'il est.
La bonne chose à propos de vivre dans une petite ville est que lorsque vous ne savez pas ce que vous faites, quelqu'un d'autre le sait.
Nous vivons ici et ils vivent là-bas. Nous noirs et eux blancs. Ils ont des choses et nous non. Ils font des choses et nous ne pouvons pas. C'est comme vivre en prison.
La préméditation de la mort est préméditation de la liberté. Le savoir mourir nous affranchit de toute subjection et contrainte.
Tant que l'on peut donner, on ne veut pas mourir !
- Lucas ! J'ai plus cours, si Waity vous laisse finir de bonne heure on pourrais aller au ciné ? - À quoi tu joues Peyton ? - L'espace d'une seconde je voulais faire comme si on avait 17 ans et que rien [...] ► Lire la suite
Comment quelqu'un peut quitter ce monde en un clin d'oeil et être parti pour toujours. C'est trop énorme pour y penser. C'est trop dur. Et ensuite on est censé continuer, c'est ça ? Dans le genre « faut vivre avec... ». Enfin, on [...] ► Lire la suite
Rien ne rend si complètement misérable qu'une crainte continuelle.
Une femme en harmonie avec son esprit est comme une rivière qui coule. Elle va où elle veut sans prétention et arrive à destination préparée à être elle-même et seulement elle-même.
En quoi puis-je croire ? Ai-je raison de vivre ? Ma vie a-t-elle le moindre sens, la plus petite signification ? Suis-je un rouage indispensable de l'univers ?
Il faut et il suffit, pour qu'il y ait souveraineté, que soit effectivement présente une certaine volonté radicale qui fait qu'on veut vivre même lorsqu'on ne le peut pas sans la volonté d'un autre.
La grande affaire et la seule qu'on doive avoir, c'est de vivre heureux.
Marchons en bavardant avec Cioran rue de l'Amertume, pour nous rendre place de la Déception, et finir ensuite dans le jardin de la Tristesse. Là, ça ira mieux : on pourra commencer à vraiment comprendre ce qui nous arrive, et passer à autre chose : emprunter le passage de l'Acceptation, nous balader avenue de l'Action.
Qui n'a pas rêvé, à un moment donné, d'effacer la vie ? L'embêtant c'est que la vie, il faut la vivre à la file. Ça commence et, à partir de là, ça tire du long jusqu'à la fin. On ne peut pas choisir.
Je suis le dépositaire d'un jeu dont je ne serai jamais le propriétaire.
Nous comprendrons toujours assez difficilement qu'il soit nécessaire de mourir pour devenir immortel.
Il en coûte trop cher pour briller dans le monde, combien je vais aimer ma retraite profonde ! Pour vivre heureux vivons cachés.
- Pourquoi êtes vous aussi agité ? - Je bous quand je pense à la patte que ce gros macaque a accroché sur moi. - Qu'est-ce que vous allez faire ? - J'vais rester là, j'vais finir cette bouteille et une fois que j'l'aurais finie j'vais la pulvériser sur le melon qui lui sert de tête.
Nous ne sommes que les pions insignifiants d'un grand jeu de massacres que se livrent des politiciens et des industriels fous, sans scrupule, avides de pouvoir et d'argent...
Mourir pour une religion est plus simple que de la vivre pleinement.
Le poker est un jeu passionnant permettant de perdre son argent, son temps et ses amis.
Le fruit de la modestie est la crainte du Seigneur, les riches, la gloire et la vie.
Pour les pauvres, disait-il, vivre c'est nager en apnée, en espérant atteindre une rive ensoleillée avant la gorgée fatale.
Vivre en révolutionnaire, mourir en révolutionnaire.