Citation d'Epicure sur Vie, Peine et Chacun

Ne pas entendre ou ne pas voir le père est la seule base solide de la vie familiale.

L'homme qui a suffisamment de richesse intérieure préfère rester hors de la société, pour n'avoir rien à donner et rien à supporter.

Commencer un roman, c'est prendre congé de la vie réelle.

La simplicité de la vie est le signe de la vraie prospérité.

Quand l'amour n'est fait que pour passer le temps, le temps fait vite passer l'amour !

Il est temps d'instaurer la religion de l'amour.

Les fils sont élevés comme s'ils devaient rester des fils toute leur vie, sans qu'on pense le moins du monde qu'ils deviendront des pères.

On ne peut passer sa vie à naître.

Tout paraît simple à qui est transfiguré par sa vie intérieure.

Le temps est la plus petite chose dont nous disposons.

Je ne regarde jamais vraiment en arrière. J'aborde la vie (en la prenant) un jour à la fois. Je suis juste vraiment reconnaissante.

L'arbre qui fait verser aux uns des larmes de joie n'est aux yeux des autres qu'une chose verte qui se dresse en travers du chemin. Certains ne voient dans la nature que ridicule et difformité ; d'autres, c'est à peine s'ils voient la nature. Mais aux yeux de l'homme d'imagination, la nature est l'imagination même.

La vie est une succession de séparations qui se termine par une grande réunion.

Et pourtant on écoute, et si longtemps
Que parfois la vie passe. Et que la mort
Déjà dit non à toute métaphore.

Je n'ai aucune relation avec Dieu et je n'en ai jamais voulu. Je ne crois pas au destin ni à aucune entité supérieure ; si un avion s'écrase et que des gens meurent, ce n'est pas parce que le Ciel l'a dit.

Foucault a situé les sociétés disciplinaires aux XVIIIè et XIXè siècles ; elles atteignent à leur apogée au début du XXè. Elles procèdent à l'organisation des grands milieux d'enfermement. L'individu ne cesse de passer d'un milieu clos à un autre, [...] ► Lire la suite

Il y a tant de maux dans la vie qu'on trouve peu d'endroits où se reposer !

L'été arrive, et la vie devient facile.

L'histoire est le témoin des temps, la lumière de la vérité, la vie de la mémoire, l'institutrice de la vie, la messagère de l'antiquité.

On peut toujours faire le malin, donner l'impression d'avoir compris quelque chose à la vie, toujours est-il que la vie se termine.

La vie est une cerise La mort est un noyau L'amour un cerisier.

La prière s'écoule dans un murmure. De temps à autre une voix s'élève et entraîne les murmures à sa suite.

Il me semble que toute ma vie avant ce jour capital est infiniment lointaine, souvenir estompé d'une jeunesse au coeur léger, de quelque chose qui se cache de l'autre côté d'une ombre.

Les premières étreintes sont toujours un peu ratées. On se jette l'un sur l'autre, à l'aveuglette ; poussé par trop de hâte on ne prend pas le temps de faire connaissance avec une peau, une odeur, un sexe étrangers.

La vie est faite pour être consommée et non pas pour être consumée.

On peut changer d'amant, mais non changer d'époux.

Enfant : existence sans biographie.

Une fille de dix-huit ans qui ne connaissait rien à la vie et ressemblait aux bougies qu'on allumait dans les églises : super simple, super pure et super blanche, mais bien allumée. Oui, complètement en effusion à l'intérieur...

- Qu'est ce qu'il vous arrive encore ?

- Je ne sais pas je m'enfonce.

- Pourquoi ?

- Je ne sais pas je vous dis.

- Vous allez arrêter de faire le pitre quand je vous parle ?

- Mais je ne [...] ► Lire la suite

La vie persiste au sein même de la destruction.