Citation de Comte de Chambord sur Jeunesse, Extrêmes et Opinions

Les courses d'avions ne demandent pas nécessairement beaucoup de courage mais une certaine folie et un total mépris de sa propre vie.

Nous n'avons pas besoin de partager les mêmes opinions que les autres, mais nous devons être respectueux.

Une longue jeunesse est devant les choses.

La vieillesse peut devenir une parure, sans être une abdication.

La critique a droit à toutes les opinions à condition d'en avoir.

Tout roman est une devinette du monde.

Certains hommes se déshabituent si bien d'avoir des opinions à eux, qu'ils finissent pas ne plus oser avoir chaud ou froid avant d'avoir consulté le thermomètre.

La jeunesse est le temps qu'on a devant soi.

Tenez-vous prudemment entre les deux extrêmes ; Marchez au milieu : c'est le plus sûr des systèmes.

Il est certain que l'éventail des opinions exprimables s'est considérablement rétréci.

Que vaut l'amitié si elle n'est présente ni au moment des malheurs ni au moment des bonheurs ? Pourquoi est-ce dans ces moments extrêmes de la vie où l'on a le plus besoin d'eux que nos amis nous abandonnent ? [...] ► Lire la suite

Les vrais acteurs gardent toujours un peu de jeunesse en eux. Ce sont des enfants.

On ne peut oublier que le fondamentalisme religieux et le laïcisme sont des formes spéculaires et extrêmes du refus du légitime pluralisme et du principe de laïcité.

Chaque volonté, chaque dévouement, chaque enthousiasme nous abrège.

Un héros de roman infidèle ! On n'aurait jamais rien vu de pareil ; il est réglé qu'ils doivent tous être constants.

L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.

Le roman est l'histoire du présent, tandis que l'histoire est le roman du passé.

L'art du roman est de savoir mentir.

La Nature, trésor inépuisable des couleurs et des sons, des formes et des rythmes, modèle inégalé de développement total et de variation perpétuelle, la Nature est la suprême ressource !

L'histoire est un roman d'aventures, sanglant certes, mais toujours grand ouvert.

Le roman policier peut être en prise directe sur la vie, permettre à un auteur de traiter sous forme de roman de grandes affaires criminelles mettant en cause de hauts personnages, d'en montrer les implications politiques et policières.

La jeunesse est un temps pendant lequel les conventions sont, et doivent être, mal comprises : ou aveuglement combattues, ou aveuglement obéies.

Quelle belle chose la jeunesse ! Quel crime de la laisser gâcher par les jeunes.

Etre libéral, c'est non seulement accepter les opinions divergentes, mais admettre que ce sont peut-être nos adversaires qui ont raison !

Ce n'est pas si désagréable de vieillir si l'on ne coupe pas la vie en étapes, si on ne se dit pas : « Maintenant c'est fini, je suis entrée dans la vieillesse ».

On est bien que libre, et cacher ses opinions est encore plus gênant que de couvrir sa peau.

Je ne ai pas vraiment ce fantasme d'être dans un blockbuster.. Je ne suis pas enthousiasmé par la célébrité, l'argent et le pouvoir.

Nul ne doit être inquiété pour ses opinions mêmes fondamentales.

Il faut bien que jeunesse se passe, et supporter patiemment que celle des autres se passe de nous.

Le concept de roman total m'intéresse, le roman qui explique tout un monde.