Citation de George Bernard Shaw sur Peur, Politique et Monde

Parfois François Fillon me donne le sentiment qu'il a commencé un marathon tout seul et qu'il n'a déjà plus de souffle.

Le vrai moyen de gagner beaucoup est de ne vouloir jamais trop gagner et de savoir perdre à propos.

- Monsieur, j'ai peur que le pouvoir vous ait rendu fou !

- Bien sûr que oui ! Essayez de devenir fou sans pouvoir c'est chiant : personne ne vous écoute.

Dans trois ans, tous les produits fabriqués par mon entreprise seront obsolètes. La seule question est de savoir si nous allons les rendre obsolètes ou si quelqu'un d'autre le fera.

Si chaque collaborateur connaît le sens et l'utilité de sa mission, se voit fixer des objectifs ambitieux mais réalistes, dispose d'un juste niveau d'autonomie, bénéficie de retours positifs sur son travail, ne se sent pas méprisé, n'a pas le sentiment [...] ► Lire la suite

Étéocle : La discipline est la mère du succès qui sauve, femme. Le choeur : C'est juste ; mais le pouvoir des dieux est plus efficace encore.

La France est capable de grandes choses quand il y a une volonté politique !

Aujourd'hui, l'activité politique consiste à faire la même chose en polluant un peu moins. Ça n'a absolument aucun intérêt parce que ce que nous cherchons à faire aujourd'hui, c'est à exterminer la vie.

Peu d'hommes ont la vertu de savoir résister au plus offrant.

Je n'ai aucune confiance en moi, aucune vision de moi. Je ne me porte aucune valeur, aucun amour. Je suis dans une totale dépendance du regard de l'autre pour pouvoir exister.

Le mépris, le plus grand sentiment et le seul que valent réellement les hommes !

Quand il s'agit d'impôts, messieurs, prouvez-en l'utilité par des raisons tirées du fond, mais non point par cette malencontreuse assertion: Les dépenses publiques font vivre la classe ouvrière. Elle a le tort de dissimuler un fait essentiel, à savoir que [...] ► Lire la suite

Car il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d'une chose ; cette universalité est la plus belle.

La devise des hommes d'affaires plus ou moins scrupuleux est : savoir toujours assez bien nager pour n'avoir jamais à trop se mouiller.

La plus grande réussite de l'Empire, c'est que tout un peuple ait compris qu'il pouvait accéder à une folie qui resterait à la postérité.

De même que le bon sens traverse quelquefois la jeunesse, la folie traverse quelquefois la raison.

Ceux qui disent que la religion n'a rien à voir avec la politique ne savent pas ce qu'est la religion.

Quand j'étais jeune je voulais tout faire sauter, maintenant j'ai peur que ça saute réellement...

Je crois au pouvoir des femmes. En tant que nourricieres, nous avons une capacité unique à prendre soin et à partager et à rendre le monde meilleur.

Le plus dur c'est de savoir qu'il y a de la bonté chez les gens. La plupart du temps elle reste enfermée en eux. C'est peut être parce que l'on a peur du malheur que l'on a un Dieu, ou [...] ► Lire la suite

La jeunesse est une ivresse continuelle ; c'est la fièvre de la santé ; c'est la folie de la raison.

La théorie de la souveraineté est, si vous voulez, ce qui permet de fonder le pouvoir absolu dans la dépense absolue du pouvoir, et non pas de calculer le pouvoir avec le minimum de dépense et le maximum d'efficacité.

Il n'est pas très facile d'admettre que la force morale possède autant de pouvoir et de vertu que le coup de poing; et que la maîtrise de soi qui refuse la riposte requiert plus de volonté et de courage que le réflexe automatique de rendre coup pour coup.

Mieux vaut ne rien savoir que beaucoup savoir à moitié !

Je n'ai jamais remarqué ce pouvoir que je suis supposé avoir sur les femmes quand j'étais un acteur de Broadway. Je ne sais pas quand je l'ai eu. Et je jure que, je ne peux l'expliquer.

Tout pouvoir est une violence exercée sur les gens.

Un homme doit savoir braver l'opinion ; une femme s'y soumettre.

La bizarrerie est une folie plus ou moins avancée, elle est presque toujours incurable, parce que de tels malades se croient toujours en bonne santé.

Il faut des siècles de désoeuvrement pour pouvoir supporter l'oisiveté du dimanche.

Il faut être un grand homme pour savoir résister même au bon sens.