Citation d'Henry Miller sur Vie, Horreur et Stupides

Une vie inutile est une mort anticipé.

Le vrai voisin risquera sa position, son prestige et même sa vie pour le bien-être des autres.

La vie c'est une merde par jour, faut t'habituer à l'odeur.

Je ne connais qu'une distraction dans la vieillesse : être utile. C'est sortir de soi.

Des gens qui n'ont jamais de moments de folie. Quelle horreur que leur vie!

Je n'ai rien vu de ce qu'un homme blanc possède, maisons ou chemins de fer, vêtements ou nourriture, qui soit aussi bon que le droit de se déplacer en rase campagne et de vivre à notre manière.

Il faut toujours vouloir vivre parce que c'est beau aussi.

On peut facilement tirer tant de livres de la vie et l'on peut tirer si peu, si peu des livres.

Contrairement à l'idée communément répandue, nous ne naissons pas libres. L'existence est un long parcours pour acquérir la liberté. Celui qui a réussi sa vie est celui qui meurt affranchi.

C'est un grand avantage dans les affaires de la vie que de savoir prendre l'offensive : l'homme attaqué transige toujours.

On ne peut pas se préparer à un impact soudain. On ne peut pas s'y préparer. Ça vous frappe, venant de nulle part ; et soudain, votre vie d'avant est finie ; pour toujours.

La vie n'est qu'une journée Et la mort qu'une nuit.

La vie est agréable. La mort est paisible. C'est la transition qui est gênante.

J'ai dû lire Wuthering Heights pour l'anglais et je n'ai jamais aimé un livre dans ma vie autant que celui-là.

Je veux vivre inhumain, puissant et orgueilleux Puisque je fus créé à l'image de Dieu.

C'est pendant qu'on calcule, qu'on analyse les pour et les contre, que la vie passe, et qu'il ne se passe rien.

Ce qu'il faut à l'écrivain, comme au peintre, au musicien, c'est l'infini de la vie et l'errance...

Le rôle de l'école est de préparer les enfants à mettre en place et à faire vivre cette société de l'échange, dont les principales productions seront des richesses non marchandables, échappant par conséquent aux raisonnements des économistes : santé, éducation, culture, justice...

Le don de soi s'exprime dans l'absolu, dans la vie quotidienne, on devient mesquin, on se met à compter, à calculer.

Mourir pour une religion est plus simple que de la vivre pleinement.

Si la vie n'est qu'un passage, dans ce passage au moins semons des fleurs.

La vie humaine n'est faite que de souffrances et les souffrances de la vie ne dépendent que de soi.

La vie des grands hommes nous rappelle Que nous aussi nous pouvons rendre notre vie sublime, Et laisser derrière nous, après la mort, Des empreintes sur le sable du temps.

La vie est pleine de surprises, certaines bonnes, d'autres moins bonnes.

La tragédie de la vie est ce qui meurt dans le coeur et l'âme des gens pendant qu'ils vivent.

Il y a un moment dans la vie où l'on se retrouve à la croisée des chemins. Les choix qu'on fait à ce moment là peuvent déterminer tout le restant de notre vie. Bien sûr face à l'inconnu, la plupart d'entre nous préfèrent faire demi-tour.

La vieillesse embellit tout : elle a l'effet du soleil couchant dans les beaux arbres d'octobre.

Je ne vois pas l'intérêt de discuter. Ce qui est fait est fait. C'est pas en discutant qu'on changera les choses. La vie est courte et elle s'arrête. Voilà, c'est comme ça. Il n'y a plus rien a dire.

L'on a plus de peine dans les partis à vivre avec ceux qui en sont qu'à agir contre ceux qui y sont opposés.

La mort, c'est long parfois, ça veut vivre avant de finir.