Citation de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais sur Finit et Chansons

L'écriture de chansons est mon cadeau de Dieu.

On finit toujours par mépriser ceux qui sont trop facilement de notre avis.

Toutes les pièces de théâtre ont fini par créer un monde à côté de la vie, qui se fait illusion à lui-même et finit par se croire vivant.

À force de lire on finit par comprendre qu'à force de lire on finit par comprendre.

On a beau se dire qu'on a vu la plus belle femme du monde, il finit toujours par s'en trouver une encore plus belle sur son chemin.

On finit toujours par se mouler dans les costumes que les autres nous taillent.

Quand on écoute mes chansons avec une oreille un peu fine, on entend que je ne suis pas du coté de la guillotine, de la loi, du coté de l'armée, du coté de l'exploitation de l'homme et de la femme [...] ► Lire la suite

Le mérite finit par conquérir.

En amour, on est tout d'abord un grand quotidien, puis un petit hebdomadaire et l'on finit mensuel, quand toutefois le tirage n'est pas complètement épuisé.

De la peine ça meurt comme de la joie. Tout finit par mourir à la longue. C'est dans l'ordre des choses.

Dans le fond des tiroirs y'a des chansons qui dorment,
Et des mots que jamais on n'a dits à personne,
Qui auraient pu changer le cours d'une existence,
Mais qui ont préféré rester dans le silence.

A force de traîner un espoir, on finit par l'user.

A rêver trop longtemps, on finit par connaître des réveils douloureux.

Le plus grand problème de la femme est qu'elle finit par être la mère de son homme.

Un saint est quelqu'un qui ne trouve pas Dieu. Ne le trouvant pas, il le cherche. Le cherchant, il finit par trouver Dieu mieux que s'il ne l'avait pas cherché.

L'amour est ce je ne sais quoi, qui vient de je ne sais où, et qui finit je ne sais comment.

On ne peut dire à quel moment précis naît l'amitié. Si l'on remplit un récipient goutte à goutte, il finit par y en avoir une qui le fait déborder ; ainsi, lorsque se succèdent les gentillesses, il finit par y en avoir une qui fait déborder le coeur.

Toutes les chansons que j'écris traitent de la dynamique humaine, que ce soit avec des copines, des petits amis ou de la famille.

Putains de chansons d'amour... Toujours aussi sournoises... Putains de banderilles dans nos coeurs à statistiques.

Le remords, ça pousse comme une fleur empoisonnée, comme un fruit vénéneux qui grossit, grossit et finit pas prendre toute la place.

Moi, j'ai envie de croire aux contes de fées. Au moins, tout finit bien dans ces histoires là.

Il y a devant l'amour trois sortes de femmes : celles qu'on épouse, celles qu'on aime et celles que l'on paie. Ca peut très bien être la même : on commence par la payer, on se met à l'aimer, puis on finit par l'épouser.

L'amour est comme une blessure à la tête. Ça donne le vertige, on croit qu'on va mourir mais on finit par guérir... en principe.

Mes chansons sont comme les rasoirs Bic. Pour le plaisir, pour la consommation moderne. Vous les écoutez, aimez-les, jetez-les, puis passez à l'autre. Pop jetable.

Le chemin le plus long finit toujours par tourner.

Le collectionneur finit souvent par croire qu'en accumulant des merveilles, il en est le créateur.

Je me rappelle d'un concert d'Yves Montand, où il interprétait Battling Joe (...) je l'ai chanté avec lui des années après, dans une émission de télé (...) j'écoutais ses chansons en boucle.

Ma plus grande joie serait qu'on écoute encore mes chansons dans cinquante ans.

Accepter d'autrui qu'il subvienne à des besoins nombreux et même superflus, et aussi parfaitement que possible, finit par vous réduire à un état de dépendance.

Et puis avec le temps on pardonne, on finit même par en rire... Après tout ce n'est qu'un jeu.