Citation d'Alphonse Allais sur Peu, Époque et Habitude

On peut tout se permettre avec les gros. Leur faire la morale à la cantine, les insulter s'ils grignotent dans la rue, leur donner des surnoms atroces, se foutre d'eux s'ils font du vélo, les tenir à l'écart, leur donner [...] ► Lire la suite

Ce qui est ingénieux est bien près d'être vrai.

Il n'y a rien de plus ordinaire que le désir d'être remarquable.

Il semble que le goût des livres croisse avec l'intelligence.

Il est important de trouver ce qui vous convient vraiment, car le style n'est pas seulement ce que vous portez, c'est ce que vous projetez.

De même que la cuisine doit laisser aux produits le goût de ce qu'ils sont, le cuisinier doit employer des mots qui ont le sens de ce qu'ils sont...

Plus le châtiment sera prompt et suivra de près le délit commis, plus il sera juste et utile.

J'ai réfléchi à ce que tu m'avais dit l'autre jour, à propos de ma peinture ; j'ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j'ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je [...] ► Lire la suite

Le bon usage de la liberté quand il se tourne en habitude, s'appelle vertu ; et le mauvais usage de la liberté quand il se tourne en habitude s'appelle vice.

Le rôle naturel de l'homme du XXème siècle est l'angoisse.

Le prochain siècle sera de jour en jour éclairé ; en comparaison tous les siècles précédents ne seront que ténèbres.

C'est le commencement du bon goût que d'aimer à lire un beau texte dans une belle impression.

La mode va et vient, mais le style est éternel.

Un style est ce qui décourage le plagiat et tente le pastiche.

La solitude m'a toujours accompagnée, de près ou de loin, comme elle accompagne tous ceux qui, seuls, tentent de voir et d'entendre, là où d'aucuns ne font que regarder et écouter. Ami inestimable, ennemi mortelle - solitude qui ressource, solitude qui détruit, elle nous pousse à atteindre et à dépasser nos limites.

Comment peut-on être si loin de ce que l'on a de plus près ?

Le seigneur est mon berger, rien ne saurait me manquer. Il me fait reposer dans de verts pâturages, il me guide près des eaux paisibles. Il restaure mon âme, il me conduit sur les sentiers de la justice, en l'honneur [...] ► Lire la suite

La justice est une disposition de l'esprit, qui tout en sauvegardant l'intérêt général, accorde à chacun la dignité qui lui revient.

Malgré la discorde et les divisions, parfois accablantes à travers le monde, au XXIe siècle nous serons plus que jamais interreliés. Si les États-Unis continuent à mener dans le monde à l'avenir, ce que j'espère, ce sera parce que nous [...] ► Lire la suite

Le peuple américain comprend parfaitement que, pour assurer sa protection et mener notre politique étrangère, nous dirigeons des opérations complexes, que l'on ne peut dévoiler au grand public. Pas par goût du secret, mais par devoir. C'est la prérogative du pouvoir exécutif.

Dans l'habillement comme dans la parole, l'homme de sens evitera tous ces extrêmes qui offensent, Habillez-vous sans affectation, et, sans hâte, Suivez les changements du goût actuel.

Le pouvoir est un goût partagé autant par les hommes que par les femmes. Tous les hommes n'ont pas envie de pouvoir, toutes les femmes non plus. Mais cela appartient aux deux sexes, bien sûr.

Je remercie cette époque de m'avoir rendu dur et capable d'être dur. Plus encore, je lui suis reconnaissant de m'avoir détaché du néant de la vie facile, d'avoir extrait d'un nid délicat un enfant trop choyé, de lui avoir donné [...] ► Lire la suite

Les courtes peines, et qui sont suivies de bonheur, ne détruisent pas le goût des plaisirs, au contraire, elles l'aiguisent.

Elle portait toujours ses lunettes noires, elle était toujours impeccable, il y avait une sorte de bon goût concerté dans la simplicité de ses vêtements, les bleus, les gris, l'absence d'éclat qui la faisaient, elle, briller tellement.

C'est une antiquité Damon, comme toi.

D'étranges rêveries comptent mes nuits,
D'un long voyage où rien ne vit,
D'étranges visions couvrent mon front,
Tout semble revêtu d'une ombre,
L'étrange goût de mort,
S'offre mon corps,
Saoule mon âme jusqu'à l'aurore.

La veillée autour du feu de la cuisine. Tout en écossant les légumes pour l'hiver, on causait des menus événements du jour, et Bibi Cholion faisait des plaisanteries dont les soeurs s'amusaient. C'était le couarail ordinaire des villages lorrains.

- Tu veux du bacon ?

- Non, merci. C'est du porc.

- Pourquoi, t'es juif ?

- Nan, j'ai horreur du cochon. Ca craint c'est tout.

- Pourquoi ?

- Parce que c'est dégueulasse un porc. J'mange pas ce genre d'animal.

- [...] ► Lire la suite

Garth  : Attention regarde pas, Stacy !

Wayne  : Oué, ou ça ? ... Oh, merde elle m'a gauler les yeux !

Garth  : Oohaahh... Robot touffe.

Stacy  : J'ai un p'tit quelque chose pour toi !

Wayne  : Stacy, on s'est séparé depuis [...] ► Lire la suite