Citation de Fénelon sur Science, Mal et Difficile

Les jeunes sont mal compris aujourd'hui et c'est pour ça qu'ils se révoltent.

Rien n'a été aussi souvent décrit, et n'est plus mal connu que l'amour.

La connaissance, au fond, ne fait pas partie de la nature humaine. C'est la lutte, le combat, le résultat du combat, et c'est par conséquent le risque et le hasard qui vont donner lieu à la connaissance. La connaissance n'est pas instinctive, elle est contre-instinctive ; de même qu'elle n'est pas naturelle, elle est contre-naturelle.

La femme est une sainte et belle créature, mais presque toujours incomprise et mal jugée.

Le monde numérique crée une situation où il n'y a plus de secrets.

Un pédé, c'est un gros mot, c'est pour parler d'un homosexuel. Et un homosexuel, c'est un homme qui aime un autre homme. Mais il y a pas de mal à ça. Il faut juste le respecter... Parce que ça reste de l'amour.

Un siècle de science a plus apporté à l'humanité, que deux millénaires de religions.

Le mal qui nous fait mal, n'est pas le mal qui nous arrive mais le mal qu'on fait aux autres.

Lire un roman est un art difficile et complexe. Il faut être capable non seulement d'une grande finesse de perception, mais d'une grande hardiesse d'imagination.

- Ça me rappelle le Vietnam...

- Le... le Vietnam ?

- Ouais, le Vietnam !

- J'étais trop jeune pour y aller mais... j'ai vu des images.

- Elles sont loin du compte les images, loin d'la peur, d'la puanteur, des [...] ► Lire la suite

Les gens font toujours le mal quand ils sont trop heureux.

Quel bonheur d'avoir un haut idéal moral et une forte passion scientifique vous évitant bien des tentations ou, plutôt, vous aidant à leur résister !

Il y a un adage qui dit qu'on fait du mal à ceux qu'on aime, mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal.

La morale est une question soit de convention, soit de prix à payer tout de suite.

Il n'en est point d'assez brave pour n'être pas affolé par une situation si nouvelle.

Ce qui commence dans le mal s'affermit par le mal.

Les hommes sans passions, sans vertus et sans vices, n'ont qu'un seul sentiment : la vanité mal déguisée.

La morale est la seule science de l'homme livré à la providence de l'homme.

L'arbitraire est au moral ce que la peste est au physique.

Chez Ellroy il y a à la fois une violence extrême et fascinante. Mais en même temps, Ellroy arrive tout le temps à avoir une espèce de recul, qui fait qu'il y a un jugement moral sur la violence.

Evidemment, la science nous a appris à pasteuriser le fromage. Mais quid de la bombe à hydrogène ?

Ne nous racontons pas d'histoires, le journaliste n'est pas un saint, il se salit les mains. Laissons la morale à d'autres.

La puissance militaire remporte des batailles, la force morale remporte les guerres.

Il n'y a point de remède contre un mal accompli.

La pression du travail et le flux incessant des idées se déversant dans notre conscience à travers toutes les portes de la connaissance rendent l'existence moderne risquée à bien des égards.

Tout le mal vient du pire.

On peut toujours construire un trône avec des baïonnettes. Mais il est difficile de rester longtemps assis dessus.

Il est difficile de chasser Dieu tout à fait. Toujours il revient humblement déguisé sous un nom ou sous un autre, et sous le nom que nous avons choisi, il se fait aimer sans qu'on le sache.

Il est difficile de dire avec vérité à partir de quel mot commence une révolution.

Trop de connaissance ne facilite pas les plus simples décisions.