Citation de Louise Béal sur Bien, Toi et Prochain

Sachez que la vie présente n'est que jeu, amusement, vaine parure, une course à l'orgueil entre vous et une rivalité dans l'acquisition des richesses et des enfants. Elle est en cela pareille à une pluie : la végétation qui en [...] ► Lire la suite

Le recyclage chez moi a été imposé par mes enfants.

Il n'y a pas de limites. Il y a des niveaux seulement, et tu ne dois pas en rester là, il faut aller au-delà. Si cela doit te tuer, que cela te tue. Un homme doit toujours dépasser son niveau.

Cette nuit j'ai rêvé que la neige brûlait que le feu fondait, j'ai rêvé de l'impossible, j'ai rêvé que tu m'aimais.

Il y en a qui ne disent rien, mais le disent bien ; il y en a d'autres qui disent beaucoup, mais le disent mal. Les pires sont ceux qui ne disent rien et le disent mal.

Pour moi la société est une menace, dès qu'on vous demande de rentrer dans le rang, vous perdez l'essentiel de vous-même.

Ne remets pas à demain ce que tu peux faire après-demain.

On ne fait bien que ce qu'on fait soi-même.

Chaque écrivain crée ses précurseurs. Son apport modifie notre conception du passé aussi bien que du futur.

Manger nous maintient en bonne santé, mais peut aussi nous rendre malade, voire nous tuer. Le sujet est beaucoup trop grave pour qu'il soit laissé à des acteurs privés, avides de bénéfices, qui méprisent le bien commun.

- As tu foi en la beauté ?

- Oui.

- Et la liberté ?

- Tout à fait.

- En la vérité ?

- Oui.

- En l'amour ?

- L'amour... l'amour... J'éprouve une foi absolu en l'amour, l'amour c'est l'oxygène, l'amour inspire [...] ► Lire la suite

Le théâtre est un lieu de tensions. C'est pas un lieu où tout est facile, où on travaille en famille. C'est la vie, le théâtre. Un lieu de conflits, même dans sa réalisation. Et c'est bien qu'il le reste, qu'il ne devienne pas artificiellement un lieu de

Telle était aussi Françoise Dorléac. A la fois timide et audacieuse. Les gestes abruptes mais d'une souplesse d'algue. L'extravagance mais aussi les tourments secrets. Légère, éblouissante et le regard quelquefois triste. On n'était jamais sûr de bien connaitre son visage. Tout en contrastes, en inquiétudes, de celles qui font le scintillement des étoiles.

Dans la lutte entre toi et le monde, parie sur le monde.

Un homme ne peut bien écrire s'il n'est quelque peu bon lisart.

La religion tolérait bien des faiblesses, quand on gardait les convenances.

Pour un noble coeur, le plus riche don devient pauvre, quand celui qui donne n'aime plus.

Respecte les autres, et ils te paieront de respect.

Ainsi, ce sont bien nos ancêtres qui sont à l'origine de nos mauvaises passions ! Le diable, sous l'apparence du babouin, est notre grand-père.

Découvrir c'est bien souvent dévoiler quelque chose qui a toujours été là, mais que l'habitude cachait à nos regards.

La parenté est un vaste monde qui, au début, te possède tout entier ; petit à petit tu t'en dégages mais jamais tu n'arriveras à en être totalement étranger.

Quels sacrifices attendre, quels renoncements espérer dans la poursuite d'un bien commun, quand l'égoïsme est roi ?

Serais-tu aussi chaste que la glace et aussi pure que la neige, tu n'échapperais pas à la calomnie.

La mémoire est aussi menteuse que l'imagination, et bien plus dangereuse avec ses petits airs studieux.

Regardez bien au fond du flacon d'où est sortie la bulle Internet : vous verrez qu'il y reste encore beaucoup de savon !

Pour bien cuisiner il faut de bons ingrédients, un palais, du coeur et des amis.

Je suis venu pour te voler Cent millions de baisers.

Tu es trop belle pour être gentille. C'est pourquoi tu détruit tout ce que tu touches.

Ne mords pas la main qui te nourrit.

Si tu fais le bien à cinq cents hommes et qu'un seul d'entre eux le reconnaît, ce n'est pas chose perdue.