Citation d'Eugenio d’Ors Y Rovira sur Confiance, Critique et Patrie

Trop de jeunes sont laissés dans un abandon culturel, à un âge où on a envie de se donner des idéaux.

La vraie patrie des hommes, c'est leur désir.

Si le Japon est la patrie des arts martiaux, l'Australie celle du surf, et la Sierra Leone celle des diamants, Casal di Principe est la capitale du pouvoir économique de la camorra.

Il est bon de faire confiance au temps qui passe : l'avenir nous révèle toujours ses secrets.

Vous êtes citoyen américain, n'est-ce pas ? Alors le monde vous appartient.

L'ombre est une couleur comme la lumière, mais moins brillante; la lumière et l'ombre ne sont que la relation de deux tons.

La critique a toujours eu mauvaise presse ; le critique, bonne conscience.

L'exil de l'homme, c'est l'ignorance ; sa patrie c'est la science.

Quand on entame une relation durable avec un orchestre dont on est directeur musical, on est garant de son unité. Il faut comprendre son fonctionnement, sa psychologie, ses points forts et ses points faibles.

Et place ta confiance en Allah. Allah te suffit comme protecteur.

Je préfère de loin la virulente critique d'un seul homme d'esprit à l'approbation inconsidérée de la masse.

Tant de gens préfèrent vivre dans le drame parce que c'est confortable. C'est comme si quelqu'un restait dans un mauvais mariage ou une mauvaise relation - il est en fait plus facile de rester parce qu'il sait à quoi s'attendre chaque jour, plutôt que de partir sans savoir à quoi s'attendre.

Exiger simplement et strictement des choses les qualités qu'elles ont la prétention d'avoir : tout le sens critique tient là-dedans.

Mes parents, malgré leur attitude sérieuse envers la vie en général et celle de leurs enfants en particulier, étaient des gens très larges d'esprit. Il n'existait pas de mauvaise profession pour eux. Comme j'étais leur fille, ils savaient que quelle [...] ► Lire la suite

Les gens qui nous donnent leur pleine confiance croient par là avoir un droit sur la nôtre. C'est une erreur de raisonnement ; des dons ne sauraient donner un droit.

Prenons garde que notre esprit critique ne se transforme en esprit de dénigrement systématique...

L'amour de sa patrie Est inné dans chacun.

Le lecteur vulgaire s'assied face au texte et il ne voit rien que la sotte apparence des choses. Le critique au contraire se recule et se penche, rien ne lui échappe du contexte.

Les notions de citoyen et de soldat sont inséparables.

Si la trahison n'a pas accru la simplicité, la confiance plus haute, l'étendue de l'amour, on vous aura trahi bien inutilement, et vous pourrez vous dire qu'il n'est rien arrivé.

Il n'est passion qui ébranle tant la sincérité des jugements comme la colère.

Faire confiance révèle des qualités. Être en confiance donne du courage.

Faute de pouvoir adapter un vocabulaire périmé, le Critique condamne.

C'est en faisant confiance aux possibilités des acteurs de générer des sens beaucoup plus larges que l'on peut avoir une maîtrise de l'espace qui ne soit pas rétrécissante.

Au-dessus du vide, le bon sens et la simple confiance en notre équilibre deviennent un effort.

On entend souvent la remarque : "Il parle trop", mais a-t-on jamais entendu la critique : "Il écoute trop" ?

Je n'ai pas besoin d'un critique pour me dire que je suis un acteur. Je fais mon propre chemin. Personne n'est mon patron. Personne n'a jamais été mon patron.

Qui critique les autres travaille à son propre amendement.

L'enjeu est de préserver nos relations avec les États-Unis. Ils ne devraient pas être changés à cause de ce qui s'est passé. Mais la confiance doit être restaurée et renforcée.

À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-choses, et pourtant, nous jouissons d 'une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons [...] ► Lire la suite