Citation de Sénèque sur Vent, Va et Sait

Le vrai drame, la vraie injustice, c'est de survivre tout seul quand on se sent inutile. ou de mourir pour rien en croyant qu'on va sauver quelqu'un.

Tyler  : Elle avait fait un portrait d'toi. Elle avait fait un portrait de toi et t'étais pas là !

Charles Hawkins  : Dis ce que t'as à dire...

Tyler  : Tu as une fille... qui croit sincèrement au plus profond [...] ► Lire la suite

Jamais il ne s'était vu un coeur plus simple. Le langage moderne a déshonoré, autant qu'il a pu, la simplicité. C'est au point qu on ne sait même plus ce que c'est. On se représente vaguement une espèce de corridor ou de tunnel entre la stupidité et l'idiotie.

Il n'y a que deux moyens pour connaître : observer et méditer.

Alceste est intransigeant, égoïste, possessif... Célimène est légère, irresponsable, infidèle. Mais s'ils acceptaient leurs défauts, s'ils parvenaient à sourire de leurs différences, ce serait la victoire de l'Amour sur l'amour propre. Seulement ces sacrifices ne sont dignes que d'un grand [...] ► Lire la suite

Je dois apprendre à me contenter d'être plus heureux que je ne le mérite.

Au début, je n'aimais pas pleurer au cinéma. J'étais très physique. On m'avait dit qu'à 30 ans, je commencerai à bien jouer. On évolue. On ne joue plus seulement avec les mots et les apparences. On va plus loin avec son coeur...

Les cinéastes ne sont pas des marques de confiture ou des couturiers à la recherche du vent qui passe.

Le train de la vie, c'est un petit train, qui va des montagnes de l'ennui aux collines de la joie.

J'ai­me­rais qu'un jour Ferré me téléphone de là-haut pour me dire: ''ça va p'tit gars? Tu sais, j'aime bien ta dernière chan­son.

- Qu'est-ce que vous faites mercredi prochain ?

- Mercredi prochain... Rien !

- Parfait ! L'ami chez qui on devait aller ce soir redonne un dîner, vous êtes bien sûr invité !

- C'est vraiment très gentil ça !

- Non c'est normal, on vous a raté aujourd'hui, on ne va pas vous rater la semaine prochaine !

Est-il plus pure joie que de s'interroger sur son siècle incertain, dans cette bousculade entre le vide et le néant ?
Est-il amour plus insensé que de comprendre où vont l'espace et l'azur et le doute et le vieux désespoir ?
La [...] ► Lire la suite

La mort est d'abord le néant du savoir... "On ne sait pas". Ce sont les premiers mots qui viennent, et qui conviennent.

Les opportunités ne manquent pas souvent là où l'inclination va avant.

J'aime la simplicité qui s'accompagne d'humilité. J'aime les gens qui savent sentir le vent sur leur propre peau, sentir les arômes des choses, en capturer l'âme. Ceux qui ont leur chair au contact de la chair du monde. Car là, est la vérité...

Mieux vaudrait apprendre à faire l'amour correctement que de s'abrutir sur un livre d'histoire.

Elevé dans un lupanar, entremetteur dès l'adolescence, outrage public à l'âge adulte, cet homme a une tendance innée à ne connaître que le droit commun.

Le taxi ressemble à une mosquée ambulante, effluves de musc, autocollants du FIS, Allah, versets du Coran, une cassette de prêches virulents d'Ali Benhadj explose les baffles.
Lunettes noires, chewing-gum, bedaine replète, le chauffeur peste contre les femmes sans hidjab, toutes [...] ► Lire la suite

La croyance que je considère comme vraie... est celle qui me permet de faire le meilleur usage de ma force, me donne les meilleurs moyens de transformer mes vertus en action.

Dieu sait quelles métaphysiques et géométries l'invention des miroirs et des vitres a pu engendrer chez les mouches !

Le poète fait abstraction de la réalité, alors, ce rêveur compte les étoiles et va même jusqu'à les imaginer.

Un écrivain idéal va partout.

Les chanceux, même le vent est à leur service.

Qui sait le plus doute le plus.

Que chacun apprenne à connaître son esprit.

Pour me comprendre
Il faudrait connaître mes nuits
Mes rêves d'amour
Et puis mes longues insomnies
Quand vient le jour
La peur d'affronter la vie.

Comme l'eau qui coule dans un fleuve va alimenter la mer, ton amour coule dans mes veines et irrigue mon coeur.

- D'accord. Tu m'rejoins comment ?

- ...

- Michael ?

- Sara... une personne doit rester et une autre doit ouvrir cette porte. Cette autre personne... c'est toi.

- Très bien, alors je te garderai la porte ouverte !

- Tu comprends [...] ► Lire la suite

Rien n'est plus doux au coeur d'un homme que le ravissement de la femme qu'il aime, qui l'aime, et la mine attentive qu'elle prend à chacune de ses paroles, d'autant plus émue et intérieurement grisée qu'elle ne sait pas ce qu'il lui dit.

Celui qui ne sait pas d'où il vient ne peut savoir où il va.