Citation d'Anaïs Nin sur Vivre, Doit et Continuer

Il ne s'agit pas de donner des privilèges immenses, des places de sûreté à une faction, mais de laisser vivre un peuple paisible.

Personne n'est capable de se diriger seul ; tous ont besoin de prendre conseil des autres.

La seule façon de diriger les gens est de leur montrer un avenir : un leader est un marchand d'espoir.

Aujourd'hui les femmes doivent se présenter aux élections, devenir responsables de grandes entreprises, au lieu tout simplement de diriger le monde d'un battement de cils, comme elles faisaient auparavant.

A quoi cela sert-il d'avoir des souvenirs si on n'a personne à qui les raconter ? A quoi bon vivre si on ne le fait pour personne ?

Soutenir les artistes, soutenir la culture, c'est aimer la France. Car la France, patrie des beaux-arts et des belles lettres, n'est jamais plus belle, jamais si grande, que quand sa culture rayonne, resplendit, attire et rassemble.

Pour les pauvres, disait-il, vivre c'est nager en apnée, en espérant atteindre une rive ensoleillée avant la gorgée fatale.

Rien ne contribue plus à l'attachement mutuel que la faculté du divorce : un mari et une femme sont portés à soutenir patiemment les peines domestiques, sachant qu'ils sont maîtres de les faire finir.

- Messieurs, un peu de cran : celui qui n'est pas mort garde un espoir de vie !
- Vivre et ne pas mourir, ça fait deux.

La mort, c'est long parfois, ça veut vivre avant de finir.

Pour vivre en paix, trouvons la distance où nous ne nous gênons pas les uns les autres.

Je suppose que vivre sans amour, sans en faire l'expérience ou sans pouvoir en donner est une punition assez forte.

Ce monde nous rendra libres, enfin. Libres de devenir qui nous sommes, sans devoir sacrifier notre âme pour un boulot pitoyable. Libres de ne plus subir la loi d'un supérieur incompétent et vicieux comme le sont presque tous les supérieurs hiérarchiques qui ont hérité d'un titre comme autrefois les nobles de leur particule ridicule.

La mort n'est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c'est mourir chaque jour.

J'ai cette bataille interne entre, j'ai besoin de travailler, j'ai besoin de travailler, j'ai besoin de travailler et j'ai besoin d'être à la maison avec mes enfants. Et les enfants gagnent.

La vie vous impose des choses que vous ne pouvez pas contrôler, mais vous avez toujours le choix de la façon dont vous allez vivre cela.

L'intelligence, c'est de se diriger soi-même ; la sagesse, c'est de faire faire par d'autres ce que je rêve.

Il est préférable de mourir de mort naturelle que d'ennui.

Non, je ne trouve point de différence à prendre du tabac, à vivre d'espérance, car l'un n'est que fumée et l'autre n'est que vent.

On paye le bonheur de vivre par la peur de mourir.

J'ai l'intention de vivre une vie authentique de compassion, d'intégrité et d'action.

Pour vivre à deux, il faut une énorme intelligence et une énorme complicité.

Le bonheur, ça consiste à vivre penché au-dessus de deux bols à café, sur l'un on a écrit "toi", sur l'autre "moi" - et le monde peut crever la gueule ouverte.

Pour vivre heureux, vivons cachés... des réalités.

Pour vivre centenaire, il faudrait abandonner toutes les choses qui donnent envie de vivre centenaire.

L'amour est un sentiment qui, pour paraître honnête, a besoin de n'être composé que de lui-même, de ne vivre et de ne subsister que par lui.

La vie est triste à mourir alors autant rire à en crever.

Je ne savais pas qu'il était possible d'être aussi misérable et de vivre mais on me dit que c'est une expérience courante.

J'aime travailler vite. Je n'aime pas faire des milliers de prises, et je ne veux pas faire des milliers de mises en place.

On doit vivre sa vie en essayant d'en faire un modèle pour d'autres.