Citation de Boleslaw Prus sur Monde, Force et Entre

La sagesse est la force des faibles.

Les réglements c'est comme la Bible. Tout le monde pense les connaître mais personne ne les lit.

Je parle à tout le monde de la même manière, qu'il soit l'éboueur ou le président de l'université.

Si les armes ont parfois évolué - mais ni toujours ni partout... - toujours et partout par contre le pouvoir est conquis par la force de la puissance.

Quelle chose l'amitié est - Monde sans fin.

Pour moi, mes sculptures représentent le monde de la femme amplifié, la folie des grandeurs des femmes, la femme dans le monde d'aujourd'hui, la femme au pouvoir.

La force de celui qui croit en Dieu n'est pas en Dieu mais dans sa foi.

J'aime Photoshop plus que tout au monde !

Quand un homme abandonne son pouvoir entre les mains d'une femme, il n'y pas long pour qu'elle en vienne à le mépriser.

L'histoire du monde est le jugement du monde.

Peindre, c'est faire apparaître une image qui n'est pas celle de l'apparence naturelle des choses, mais qui a la force de la réalité.

Il y a plus d'une façon de brûler un livre. Et le monde est plein de personnes se précipitant pour le faire, une allumette à la main.

Chez un homme, ce sont les mains qui mentent le mieux, ce sont elles aussi les plus romantiques.

Le monde est rempli de négativité. Je veux que les gens me regardent et pensent : "Je me sens bien et je vais faire en sorte que quelqu'un d'autre se sente bien aujourd'hui."

Regarder les choses de tout le monde avec un éclairage personnel.

L'homme oriente sa voile, appuie sur le gouvernail, avançant contre le vent par la force même du vent.

Béni soit la saison qui engage le monde entier dans un complot d'amour.

On ne force pas une curiosité, on l'éveille.

Le monde mental Ment Monumentalement.

Le bonheur suppose que l'on refuse de voir le monde tel qu'il est.

Tout le monde sait qu'en cas d'insomnie il suffit d'additionner mouton après mouton pour s'endormir. Mais combien de personnes savent que, pour rester éveillé, il suffit de soustraire les moutons ?

Littérature : clamer devant tout le monde ce que l'on prend soin de dissimuler à son entourage immédiat.

Il faut le dire : il y a trop de grands hommes dans le monde ; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle.

Sans le désir, le monde n'eût jamais perpétué le monde.

Le plus précieux cadeau que nous puissions offrir aux autres est notre présence. Quand la pleine conscience prend dans ses bras ceux que nous aimons, ils se mettent à éclore comme des fleurs.

Quand c'est l'homme qui est pris en faute, le monde pardonne ; quand c'est la femme, il y a un rejaillissement de honte sur la famille.

On est toujours persuadé qu'il n'y a qu'une personne au monde à aimer et on en trouve une autre pourtant un jour. Et ça à l'air dingue de s'être autant inquiété pour ça au début.

Laisse le monde te changer et tu pourras changer le monde.

Etre bon, c'est être en harmonie avec soi-même. La discorde, c'est être forcé à être en harmonie avec les autres.

La presse, comme la femme, est admirable quand elle avance un mensonge, elle ne vous lâche pas qu'elle ne vous ait forcé à y croire, et elle déploie les plus grandes qualités dans cette lutte où le public, aussi bête que le mari, succombe toujours.