Citation de Stanislaw Balinski sur Temps, Monde et Pays

Toute ma vie, je n'ai vu que des temps troublés, d'extrêmes déchirements dans la société, et d'immenses destructions ; j'ai pris part à ces troubles.

Décider d'être reconnaissant pour les petites choses plutôt que passer son temps à se lamenter sur les gros problèmes pouvait changer votre vie du tout au tout.

Beaucoup de suicides ne sont dus qu'à une minute de lucidité.

Nous sommes le seul pays au monde à détruire ses anciens bâtiments. Trop tard, nous réalisons à quel point nous en avons besoin.

Il n'y a aucune connaissance de la terre qui ne commence par l'imagination. Lorsqu'elle disparaît, lorsque se brise la création par l'imaginaire, la curiosité s'évanouit avec elle et le savoir s'épuise.

L'enfer, c'est la présence infinie du temps mêlée à l'espérance de la fin du temps.

Le monde a beau changer, le chat ne pondra jamais.

Les femmes ont été assujetties matériellement aux hommes depuis des générations dans le monde entier. Elles en sont venues à se reposer sur l'homme aussi inconditionnellement qu'un enfant sur ses parents.

La nuit est toujours plus sombre avant l'aube et la vie est la même, les temps difficiles passeront, tout ira mieux et le soleil brillera plus que jamais.

Et le monde se brise un peu plus chaque jour, car l'argent a plus d'importance que les êtres humains...

Le mal s'insinue dans l'air du temps comme de l'eau sous une porte. D'abord presque rien. Un peu d'humidité. Quand l'inondation survient, il est trop tard.

Les plus sommaires sont assurés de trouver le salut éternel dans la radicalité de la plus inhumaine violence.

La mondialisation a poussé les pays riches à se concentrer sur les produits à forte valeur ajoutée, ils ont alors pris conscience que la richesse n'était pas dans les bras mais dans les cerveaux.

Les souvenirs, c'est la seule chose au monde qu'on peut partager sans arrêt et qui ne s'épuise jamais...

Dans les temps anciens, il y avait des ânes que la rencontre d'un ange faisait parler.

Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs.

C'est trop long une vraie carrière ! On a trop le temps de voir les ficelles de ceux dont l'intelligence et la ruse l'emportent sur le vrai talent.

Ma vie s'éteint, la vue se brouille, il ne reste plus que le souvenir. Je m'souviens d'un temps ou régnait le chaos, un temps de rêves brisés, de terres dévastées... Mais par-dessus tout, je me souviens du guerrier de la [...] ► Lire la suite

Tout le monde est une star, donc, personne n'est une star.

Cette candeur des bêtes. Cette merveilleuse inconscience qu'elles promènent aux quatre coins du monde comme un message.

Les enfants sont notre avenir et si nous les utilisons au combat, nous détruisons l'avenir. Nous devons les récupérer, chacun d'eux, un à la fois.

La grande tragédie des athées est qu'ils marchent dans ce monde et n'ont personne à remercier.

- Heu une minute je voudrais savoir... où as-tu appris à tirer comme ça ?

- À Disneyland.

Il n'y a pas de création artistique sans éducation artistique.

Les mythes de la création des Dogons (Mali) racontent qu'à l'origine chaque être humain est nanti de deux âmes de sexe différent. Pour l'homme, l'âme femelle siège dans le prépuce. Pour la femme, l'âme mâle est supportée dans le clitoris. [...] ► Lire la suite

L'homme n'a point de port, le temps n'a pas de rive ; Il coule et nous passons !

Mon morceau de pain ne m'appartient que quand je sais que tout le monde a sa part, et que personne ne meurt de faim pendant que je mange.

Moi aussi il m'arrive de passer du temps avec des gens moins brillant. Histoire de voir comment les autres vivent.

Après la quarantaine, tout changement est un symbole détestable du temps qui passe.

Un homme du monde qui veut ses amis conserver, doit accepter d'à quelques règles se plier pour ses connaissances inviter...