Citation de Fénelon sur Guerre, Mal et Humain

Quand l'homme ne pense pas à faire du mal au tigre, le tigre pense à faire du mal à l'homme.

- Ah non pas toi.

- Quoi pas moi ?

- Je croyais que tu n'étais pas une menteuse. Pourquoi tu me parles de Dieu ? Mes parents on déjà essayé le coup du père Noël une fois suffit, merci, on ne [...] ► Lire la suite

Quiconque est parvenu à discerner le bien du mal a déjà perdu son innocence.

Le véritable lieu de naissance est celui où l'on a porté pour la première fois un coup d'oeil intelligent sur soi-même : mes premières patries ont été des livres.

Il n'y a rien qu'un être humain fasse une seule fois. Si un être humain fait une chose un jour, c'est que c'est dans sa nature. Chaque personne passe son temps à reproduire les mêmes actes.

L'écriture s'accommode mal de la jeunesse. Ecrire très jeune, c'est être soumis à une tension qu'on ne sait pas manier.

Ça me plait cette idée d'accepter les gouttes d'eau, les coup de tonnerre comme quelque chose de notre condition humaine.

L'esprit humain doit prévaloir sur la technologie.

Qui chante, son mal enchante. Qui pleure, son mal augmente.

Et dans ces temps difficiles, où le mal rôde et frappe dans le monde, je souhaite que la Providence veille sur la France, pour son bonheur, pour son bien et pour sa grandeur.

On n'est jamais aussi bon qu'on le craint ni aussi méchant qu'on l'espère.

La gratitude, c'est regarder du bon côté de la vie, même si cela signifie se faire mal aux yeux.

Les seuls mots que tu regretteras plus que ceux que tu n'as pas dit sont les mots utilisés intentionnellement pour faire du mal à une personne.

Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

Commettre deux fois la même erreur : c'est l'une des faiblesses que l'être humain a le plus de mal à éviter.

Fait curieux : personne n'a jamais le mal de mer à terre.

Je suis le plus samplé, le plus volé. Ce qui est à moi est à moi, et ce qui est à vous est à moi aussi. J'ai une chanson là-dessus, mais je ne la publierai jamais. Je ne veux pas [...] ► Lire la suite

Le mal que fait un homme vit après lui ; souvent ses bonnes actions vont dans la terre avec ses os.

Chaque individu a son propre univers intérieur et par conséquent une façon qui lui est propre de voir le monde et de se situer dans le monde.

L'homme vraiment bon est seulement celui qui aurait pu être méchant et ne l'a pas été.

Plus l'être humain vieillit, plus il bascule dans le passé, comme si le bonheur, la plénitude réside dans l'espérance des choses, dans leur vécu.

C'est dans la nature des choses de mal finir. Il fallait commencer par ne pas commencer. Savoir s'arrêter avant que ça commence.

J'ai toujours été en guerre avec moi-même, pour un oui ou pour un non.

Quand les choses vont mal ne les accompagnez pas.

C'est la guerre qui nous a appris à aimer ce qui n'est pas à nous et à compter pour rien ce que nous possédons.

Que sait-on de l'être humain si on ne le replace pas dans son éternité, bien sûr, mais aussi dans son histoire, dans sa vie quotidienne, dans ce qui se passe ?

Sais-tu ce que j'aime le plus en ce monde ? C'est toi. Toi qui depuis ce premier baiser échangé a transformé ma vie en un soleil ! Être auprès de toi à cet instant pour te câliner dans mes bras, [...] ► Lire la suite

Comme l'amour, la guerre ne se fait pas toute seule. Il y a une réciprocité de la violence qui demande à être considérée.

Le sujet humain est égocentrique, dans le sens où il s'autoaffirme en se mettant au centre de son monde. Mais, dans son "je", il inclut un "toi" et un "nous", et il est capable d'inclure son "je" dans un "toi" et un "nous".

Une violence infantile mal gérée sera la logique d'une violence conjugale par déguisement et vengeance.