Citation de Pindare sur Santé, Doit et Richesse

Ce que je trouve nouveau, c'est la richesse des rôles des vraies femmes à la télévision et au cinéma. C'est ce que je pense être révolutionnaire et évolutif.

La forte santé incline aux abus. Voilà pourquoi ce sont les malades qui durent et les bien-portants qui claquent.

Le désir d'un meilleur état est la source de tout le mal dans le monde.

La richesse rend tout supportable, tandis qu'il n'y a pas de bonheur qui ne succombe à la misère.

La gloire de Dieu, c'est l'homme vivant, et la vie de l'homme, c'est la vision de Dieu.

Limiter la pauvreté sans limiter la richesse.

Notre génération peut être la première à mettre fin à la pauvreté - et la dernière génération à lutter contre le changement climatique avant qu'il ne soit trop tard.

Même un sorcier aurait beaucoup de mal à abroger la loi économique selon laquelle des salaires minimums plus élevés réduisent l'emploi. Puisque les politiciens ne sont pas des sorciers, ils ne devraient pas essayer.

Toute cité est un état d'âme.

Il n'y a guère de vanité dans la vertu qui s'aime et le fait savoir.

La grandeur comme la gloire n'est qu'un complexe, une illusion de l'esprit.

Toute éducation digne de ce nom est forcément dangereuse.

Le but de toute bonne éducation est celui de mettre des bornes à l'amour-propre de l'élève.

La ville n'est pas une simple agglomération d'hommes et d'équipements, c'est un état d'esprit.

La pauvreté est la première des maladies.

Le bonheur est un état permanent qui ne semble pas fait ici-bas pour l'homme.

Le meilleur programme anti-pauvreté est une éducation de classe mondiale.

Dans une relation saine, la vulnérabilité est merveilleuse. Elle conduit à une intimité accrue et à des liens plus étroits. Lorsqu'une personne en bonne santé se rend compte qu'elle vous a fait du mal, elle éprouve des remords et se [...] ► Lire la suite

Il n'y a d'autre richesse que la vie.

Les femmes sont davantage en mesure de fonder la pédagogie de l'avenir et de garantir aux élèves de demain une éducation adéquate aux défis qui les attendent.

La femme, qui, à toutes les époques, eut la vertu fâcheuse de rendre bavards les imbéciles, renferme de bons éléments qu'un délicat parfois utilise pour se faire à soi-même une belle illusion. Toutefois, elle fait un divertissement qui peut nuire à notre concentration et compromettre les expériences que nous voulons tenter.

La richesse est comme les poils du nez : si on en arrache beaucoup, ça fait mal, si on en arrache un peu, ça fait mal aussi.

Si on a pris le soin de bien s'entourer, le collaborateur responsable prend 99 fois sur 100 la décision que vous auriez souhaitée, voire, de temps à autre, une décision meilleure.

Chez les morts la richesse ne sert plus à rien.

On va au théâtre pour voir et savoir, pour sentir et ressentir. On se met en état d'attente, dans l'espoir d'attendre ou de comprendre quelque chose que l'on n'a pas su comprendre jusqu'alors.

Les orgueilleux ne laissent pas de gloire derrière eux.

Le bouddhisme place sur le même rang les êtres d'intelligence et de vertu égale, sans se préoccuper de leur sexe.

La pauvreté abjecte est humiliante, est une atteinte à la dignité de ceux qui la subissent. En fin de compte, cela nous rabaisse tous. Cela rend la liberté de nous tous moins significative.

Aimer, c'est trouver de la richesse dans ce qui ne s'achète pas.

Donnez une éducation à une fille et introduisez-la convenablement dans le monde, et dix contre un mais elle a les moyens de bien s'installer, sans frais supplémentaires pour personne.