Citation de Patrick Kavanagh sur Hommes, Font et Affaire

En amour, selon les psychologues, si la femme rit, l'homme pleure.

Si les Dieux voulaient exaucer les voeux des mortels, il y a longtemps que la terre serait déserte, car les hommes demandent beaucoup de choses nuisibles au genre humain.

Tous les ans la saison et toujours sa couleur Sa forme son parfum, Qui pourra nous guérir des matins similaires Qui jamais ne font qu'un.

La société serait une affaire charmante si nous ne nous intéressions qu'à l'autre.

Comme une femme est belle en ces premiers mois où elle vous fait l'honneur d'être deux !

Les hommes font les lois, les femmes les abrogent.

Je me console d'être une femme en songeant que, de la sorte, je n'en épouserai jamais une.

Eh quoi ! est-il donc si difficile de laisser les hommes essayer, tâtonner, choisir, se tromper, se rectifier, apprendre, se concerter, gouverner leurs propriétés et leurs intérêts, agir pour eux-mêmes, à leurs périls et risques, sous leur propre responsabilité ; [...] ► Lire la suite

Je ne suis pas contre le mariage gay, je m'en fous : les gens font ce qu'ils veulent.

C'est la femme qui fait un foyer.

Les hommes ne peuvent s'entendre que sur des préjugés.

Quand on n'a que de la vanité, toute femme est utile ; aucune n'est nécessaire ; le succès flatteur est de conquérir, et non de conserver.

L'horloge des femmes et celle des hommes dans l'amour n'ont pas les mêmes aiguilles.

Entre 18 et 20 ans, la vie est comme un marché où l'on achète des valeurs non avec de l'argent, mais avec des actes. La plupart des hommes n'achètent rien.

Les hommes politiques sont marrants. Encore que je ne pense pas qu'ils nous feront un jour autant marrer qu'ils nous emmerdent.

Il faut croire en Dieu et aussi dans les hommes pour sauver quelque chose.

Consulte toujours ta femme et agis ensuite à ta guise.

Avec le temps, tout ça nous apparaît à la fois plus clair et plus complexe. Mais une chose au moins est certaine, avant l'opération Doolittle, l'Amérique ne connaissait que la défaite, à partir de là, elle a renoué avec la [...] ► Lire la suite

L'espérance est la nourrice des hommes de peu d'esprit.

La colère, la luxure et les autres passions maléfiques qui font rage dans le coeur sont les véritables intouchables.

Tous les hommes se ressemblent si fort qu'il n'y a point de peuple dont les sottises ne doivent nous faire trembler.

Certaines femmes font le malheur de dizaines d'hommes. D'autres s'acharnent sur un seul : ce sont les femmes fidèles.

Ce n'est pas la conscience des hommes qui déterminent leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience.

Il suffit que les hommes s'emparent de tâches réputées féminines et les accomplissent hors de la sphère privée pour qu'elles se trouvent par là même ennoblies et transfigurées.

Je ne pense pas qu'il y ait des hommes fidèles à leurs femmes.

La femme n'est que le gracieux perroquet des imaginations, des pensées, des paroles de l'homme, et le joli petit singe de ses goûts et de ses manies.

La relation interpersonnelle que j'établis avec autrui, je dois l'établir aussi avec les autres hommes ; il y a donc nécessité de modérer ce privilège d'autrui ; d'où la justice. Celle-ci, exercée par les institutions, qui sont inévitables, doit toujours être contrôlée par la relation interpersonnelle initiale.

A supposer qu'une femme déclare son amour à un homme au cours des cinq actes d'une pièce, celle-ci n'est monotone que s'il s'agit du même homme.

Soif et concupiscence vont de pair ; partage et jalousie font mauvais ménage.

Un régime, c'est ce que fait une femme pour ne plus avoir la forme que sa robe lui donne.