Proverbe Chinois sur Vie, Mort et Mieux

La vie n'aime pas que l'on désespère d'elle.

Le sens de la vie n'est pas simplement d'exister, de survivre, mais pour aller de l'avant, à monter, à réaliser, à conquérir.

Enfant, toute ma vie n'était que livres. Ils étaient mon fantasme. C'est là que je pourrais aller. C'est souvent ce qui m'a sauvé.

La vie est une grande tapisserie. L'individu n'est qu'un fil insignifiant dans un schéma immense et miraculeux.

- Je me sens comme une terrible personne...

- Tu as juste sauvé une vie, Elena. Venant de moi... la séparation est dure, la mort est pire.

- Je pense à tout ce qui s'est passé, la dernière fois que [...] ► Lire la suite

Pourquoi s'en faire avec la mort quand la vie nous donne déjà bien assez de soucis comme ça ?

Les seuls livres dignes d'être lus sont ceux qui rendent sensible, non pas dans des phrases explicites, non pas même par le fil de l'intrigue, mais dans leur texture même, leur tissu de mots, à la fois ce que la vie à d'impossible et ce qu'elle a d'admirable.

Le diplôme est l'ennemi mortel de la culture.

Les hommes qui sont nés pour jouir véritablement de la vie font ce qui leur plaît, à l'heure où cela leur plaît, et ne perdent pas leur temps à prévoir l'avenir, à se garer de catastrophe imaginaires.

Il faut garder en mémoire nos rêves, avec la rigueur du marin qui garde l'oeil rivé sur les étoiles. Ensuite, il faut consacrer chaque heure de sa vie à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour s'en approcher, car rien n'est pire que la résignation.

La poésie est simplement la preuve de la vie. Si votre vie brûle bien, la poésie en est les cendres.

La mort (ou son allusion) rend les hommes précieux et pathétiques.

La mort s'est tellement rapprochée qu'on tient compte d'elle même pour de toutes petites décisions, savoir, par exemple, s'il vaut encore la peine ou non de se faire plomber une dent.

On signe son arrêt de mort si on commence à se préoccuper du public.

La littérature, c'est la vie intérieure qui devient de la vie.

C'est pénible pour vous, et c'est pénible pour eux. Quand il s'agit d'un meurtre, on ne peut pas respecter la douleur. Ni la vie privée. Ni les sentiments personnels. Il faut poser les questions. Et il y en a qui blessent profondément.

Il ne faut pas en vouloir aux gens lorsqu'ils agissent de manière à confirmer la mauvaise opinion que nous avons d'eux.

Les erreurs sont faites, les rêves se réalisent, les souvenirs restent, et malgré tout ça la vie continue.

Ça vous est déjà arrivé de regarder une photo de vous et d'apercevoir un inconnu à l'arrière plan ? On peut pas s'empêche de se demander combien d'inconnus nous ont en photo à l'arrière plan, et dans combien de vies on [...] ► Lire la suite

Gardez-vous de vous croiser les bras en l'attitude stérile du spectateur, car la vie n'est pas un spectacle...

La vie est un rêve dont la mort nous réveille.

L'amour est une histoire qui s'accomplit, au sens sacré : c'est un programme, qui doit être parcouru.

Choisir le doute comme philosophie de vie c'est comme choisir l'immobilité comme mode de transport.

Tu veux entrer dans ma vie ? La porte est ouverte.
Tu veux sortir de ma vie ? La porte est ouverte
Mais je te prie d'une seule chose, ne reste pas devant la porte pour bloquer le passage.

Tous ceux qui vivent ne sont point vivants ; et la mort n'est pas une porte qui s'ouvre en un sens seulement.

Ce n'est pas que la vie soit courte, c'est que le temps passe vite...

Chaque vie est capable de grandeur.

L'art et la vie sont subjectifs. Tout le monde ne va pas creuser ce que je creuse, mais je me réserve le droit de le creuser.

Dominer ses entraves, se libérer ou alors la vie est trop torturante et vivre n'est plus supportable.

Aucun homme n'est blessé que par lui-même.