Citation de Raoul Ponchon sur Dieu, Temps et Bien

Un amour qui ne peut survivre qu'au prix du péché doit être bien triste.

L'oraison du juste est la clef du ciel : sa prière y monte, et la pitié de Dieu en descend.

Souris même si ton sourire est triste, car s'il existe quelque chose de plus triste qu'un sourire triste, c'est bien la tristesse de ne pas savoir sourire.

Les enfants sont la chose la plus précieuse dans la vie. Un parent doit faire tout ce qu'il peut pour donner à un enfant le sens de la famille.

On n'est pas bien là ! Hein ?! Putain merde, tu vois, quand on nous fait pas chier, on se contente de joies simples !

C'est parce que je suis bien dans sa peau que je suis bien dans la mienne.

Il n'y a rien qu'un être humain fasse une seule fois. Si un être humain fait une chose un jour, c'est que c'est dans sa nature. Chaque personne passe son temps à reproduire les mêmes actes.

Qu'est-ce que la chute ? Si c'est l'unité devenue dualité, c'est Dieu qui a chuté. En d'autres termes, la création ne serait-elle pas la chute de Dieu ?

J'aime bien que l'on m'invente des mots d'esprit. Cela permet au mien de se reposer.

De l'union de "si" avec "mais", naquit un enfant nommé "plaise à Dieu que..."

Il y a bien peu de femmes dont la conversation plaise encore après qu'on les a eues.

Le pire, chez les militaires, c'est qu'on dirait des enfants, tout l'honneur que leur rapportent les guerres se résume en une chose : pouvoir les expliquer.

Le goût de la mort est sur mes lèvres. Je ressens quelque chose qui n'est pas de cette terre.

Le prétendu Dieu des armées est toujours pour la nation qui a la meilleure artillerie, les meilleurs généraux.

C'est une chose merveilleuse que l'instinct.

Rendez à Dieu ce qui est à Dieu, à César ce qui est à César. Mais qu'est-ce qu'il restera aux gens ?

Dawn  : Oh, on pourrait se faire une nuit blanche ! Ce serait vraiment génial !

Buffy  : Non, j'aime pas trop cette idée... [Regard suppliant de Dawn] Bon allez, d'accord. De toute façon personne n'a sommeil alors...

Spike  : [Ton sous [...] ► Lire la suite

Nous faisons notre histoire nous-mêmes, mais, tout d'abord, avec des prémisses et dans des conditions très déterminées. Entre toutes, ce sont les conditions économiques qui sont finalement déterminantes. Mais les conditions politiques, etc., voire même la tradition qui hante les cerveaux des hommes, jouent également un rôle, bien que non décisif.

C'est une chose étrange que l'absence. Elle contient tout autant d'infini que la présence. J'ai appris cela dans l'attente, j'ai appris à aimer les heures creuses, les heures vides : c'est si beau d'attendre celle que l'on aime.

Je sais à quoi je ressemble au réveil après seulement trois heures de sommeil. Je me dis parfois que j'ai besoin de me cacher sous un chapeau pour sortir. Et ces jours-là, ça fait vraiment du bien d'entendre que je suis sexy malgré tout.

L'amour, c'est l'aile que Dieu a donnée à l'homme pour monter jusqu'à lui.

Il est difficile de faire un film qui veut dire quelque chose parce que, malheureusement, presque tout a été dit.

Il y a toujours, dans la plus spirituelle des femmes, une petite dinde qui ne prend jamais le temps de dormir.

Le superflu devient avec le temps chose très nécessaire.

Les gens disent tous la même chose ! Ils disent tous, lorsqu'ils leur arrivent quelque chose : "Ça n'arrive qu'à moi !"

Une chose facile à avoir en décembre, c'est du sang-froid.

Quoi qu'il arrive, tu as toutes les raisons, le matin, d'être joyeux ; tu te réveilles, tu vis en démocratie, tu vas vivre une journée sur cette terre, des gens t'aiment et, même si tu as des soucis, eh bien ce soir tu seras toujours vivant, normalement !

On veut bien faire le bonheur des autres. Mais on n'aime guère - quoi qu'on dise - que ces mêmes autres se mêlent du nôtre.

Il est bien plus naturel à la peur de consulter que de décider.

L'important n'est pas que nous soyons pécheurs à tout prix, mais que Dieu soit tel que Jésus le désigne.