Citation de Goethe sur Raison, Suis et Sot

Il est beaucoup plus important de sanctionner un responsable, que de sanctionner quelqu'un qui a moins de raison d'être exemplaire.

- Mais t'en as pas marre qu'on s'intéresse à toi que pour ton fric ?

- Tu sais mon fric j'me suis donné du mal pour le gagner. Moi ce que j'trouve humiliant, c'est d'être aimé pour ce qu'on est, quand [...] ► Lire la suite

- Tu es tendue aujourd'hui.

- Je suis née tendue.

Les origines de l'Art sont pourtant plus modestes. L'Art est né du jour où l'homme, au lieu de se préoccuper uniquement de l'utilité d'un objet fabriqué par lui, s'est préoccupé de sa forme; du jour où il a voulu que [...] ► Lire la suite

Je n'ai jamais remarqué ce pouvoir que je suis supposé avoir sur les femmes quand j'étais un acteur de Broadway. Je ne sais pas quand je l'ai eu. Et je jure que, je ne peux l'expliquer.

Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi.

Je ne suis pas apte à suivre aveuglément les autres hommes.

Vous devez connaître les règles pour les casser. C'est pour cela que je suis en train de démolir les règles, mais de garder la tradition.

Ne pas respecter un hôte, c'est à leurs yeux commettre un sacrilège : ceux qui, pour une raison quelconque, viennent chez eux, ils les protègent, leur personne leur est sacrée ; toutes les maisons leurs sont ouvertes et ils ont place à toutes les tables.

Tant que je n'ai pas abattu l'adversaire, je peux craindre qu'il m'abatte. Je ne suis donc pas mon propre maître, car il me dicte sa loi comme je lui dicte la mienne.

C'est une chose triste quand les hommes n'ont ni assez d'intelligence pour bien parler, ni assez de bon sens pour se taire ; c'est la racine de toute impertinence.

Qui sait si la raison de l'existence de l'homme ne serait pas dans son existence même ?

J'ai plein de défauts. Je suis pas ce qu'on appelle un type bien. Mais avec toi... avec toi, je jouais pas.

Oui ; mieux que la raison l'estomac nous dirige.

Et oui j'ai connu ton père... et toi aussi, je te connais bien mon garçon. Tu sais, ton père m'a beaucoup parlé de toi au camp, pendant ces 5 ans ou on est restés côte à côte prisonniers à Hanoï, [...] ► Lire la suite

Je suis la seule personne que je connaisse qui a perdu un quart de milliard de dollars en un an, ça forge le caractère.

Je suis un de ces démocrates qui croient que le but de la démocratie est de faire accéder chaque homme à la noblesse.

J'aime beaucoup Libé, je partage beaucoup de remises en question...Moi je suis prêt à signer tous les textes contre l'expulsion des travailleurs immigrés...

L'école était une perte de temps pour moi. Je m'ennuyais et je suis parti à 16 ans. J'ai plutôt commencé à suivre des cours par correspondance au collège. J'ai incroyablement bien réussi. J'ai gagné un prix pour mes notes.

Je me sens proche des fous. Je sais m'y prendre avec eux mieux que la plupart des gens, car je parviens en quelque sorte à imaginer la manière fantasque dont leur esprit fonctionne.

Je sais où je vais et je connais la vé­rité ; de ne pas de­voir être ce que vous vou­lez que je sois. Je suis libre d'être ce que je veux.

Le mot Dieu n'a pas de sens pour moi, mais je le restitue au mystère, pas au néant.

Ma philosophie est: ce n'est pas mon affaire ce que les gens disent de moi et pensent de moi. Je suis ce que je suis et je fais ce que je fais. Je n'attends rien et j'accepte tout. Et cela rend la vie beaucoup plus facile.

Je suis flatté et enthousiaste d'être sur France Inter et sur France 3 dans un programme exigeant et ambitieux.

Malheur aux faiseurs de traductions littérales, qui en traduisant chaque parole énervent le sens ! C'est bien là qu'on peut dire que la lettre tue, et que l'esprit vivifie.

Que notre raison, et non nos sens, soit la règle de notre conduite ; car la raison nous apprendra à penser sagement, à parler avec prudence et à nous comporter dignement.

Wild Bill était un personnage étrange. En personne, il mesurait environ six pieds et un pouce. C'était un homme des Plaines dans tous les sens du terme.

Je me suis empêchée de parler de mes parents toute ma vie, j'ai aujourd'hui un plaisir fou de parler d'eux.

La volonté de renoncer à son indépendance, de troquer le témoignage de ses sens contre le sentiment confortable mais déformant la réalité, d'être en harmonie avec un groupe, est l'aliment dont se nourrissent les démagogues.

J'étais malheureux de n'avoir pas de souliers, alors j'ai rencontré un homme qui n'avait pas de pieds et je me suis trouvé content de mon sort.