Citation de Joseph de Maistre sur Puis, Travaille et Créateur

Voyager vous donne une idée de ce à quoi ressemble le reste du monde.

Durant la vie, on reste assis sans se reposer. Une fois mort, on se repose sans s'asseoir.

Je me trouve mieux maintenant qu'à 20 ans. Je me ressemble enfin.

Si la base est solide, la maison est solide.

Une nation dans laquelle une classe est opprimée ressemble à un homme qui a une blessure à la jambe : la jambe malade interdit tout exercice à la jambe saine.

Peut-être, ne comprendrez-vous jamais ce que j'éprouve en vous voyant ; mon âme se repose dans votre présence.

Personne ne travaille mieux que lorsqu'il fait une seule chose.

Souvent, celui qui travaille mange la paille ; celui qui ne fait rien mange le foin.

Il est absolument impossible de construire sur une base de mort, de misère et de confusion.

Une idée dans un homme ressemble à ce pieu de fer que les sculpteurs mettent dans leurs statues : elle l'empale et le soutient.

Ma politique, loin d'être aucunement opposée à ma philosophie, en constitue tellement la suite naturelle que celle-ci fut directement instituée pour servir de base à celle-là, comme le prouve cet appendice.

Un cimetière un jour de Toussaint ressemble à une exposition un jour de vernissage.

Rien ne ressemble mieux à une vive amitié, que ces liaisons que l'intérêt de notre amour nous fait cultiver.

La musique repose sur l'harmonie entre le Ciel et la Terre, sur la coïncidence du trouble et du clair.

La voix est ce qui ressemble le plus à l'âme.

La célébrité télévisuelle est vulgaire, sans prestige, elle repose sur la familiarité. Si on est "dans" la télé, on est célébre. Monsieur météo n'est-il pas le roi de l'Audimat ?

Ce qui arrête souvent de dire la vérité, c'est qu'elle ressemble trop au mensonge des autres.

Seul repose en paix celui qui meurt oublié.

Je pense que je ressemble à beaucoup de gens qui n'ont rien.

Chacun se dit ami : mais fou qui s'y repose ; Rien n'est plus commun que le nom, Rien n'est plus rare que la chose.

Tout ce que nous faisons dans la vie est basé sur la peur, en particulier l'amour.

Le rire doit être construit, basé sur la réalité de la vie, sur des faits communs. La folie, oui, mais avec un cadre.

C'est classe, de choisir de mourir à vingt-sept ans. Ou à quatre-vingts ans. Entre les deux, ça ne ressemble à rien.

Pourquoi un corbeau ressemble t-il à un bureau ?

Le vaniteux fait dépendre son propre bonheur de l'activité d'autrui ; le voluptueux, de ses propres sensations et l'homme intelligent, de ses propres actions.

Un fils qui ne travaille pas pour nourrir sa vieille mère, est un rameau stérile jusque dans la racine.

Lorsqu'un problème n'a pas été résolu dans une vie, il est automatiquement reposé dans la suivante.

J'ai vraiment besoin de mes rapports sexuels réguliers,
Tout le reste est du blabla,
Je travaille comme un cheval, voilà,
J'ai rien à faire, moi, de la moralité.

Le succès pour moi n'est pas une destination, c'est un voyage. Tout le monde travaille pour atteindre le sommet, mais où est le sommet ? Il s'agit de travailler plus dur, de s'améliorer et de progresser.

Passé quarante ans, tout le monde ressemble à une ville bombardée. Il tombe amoureux quand elle éclate de rire - au désir s'ajoute une promesse de bonheur, une utopie de tranquillités emboîtées -, il suffira qu'elle tourne la tête vers lui et se laisse embrasser, et il accèdera à un monde différent.