Citation de Francisco Sionil José sur Justice, Besoin et Attendre

Quand vous avez raison, vous n'avez pas besoin d'être en colère. Quand vous avez tort, vous n'avez pas le droit d'être en colère.

On a guéri la peste, bravo, mais maintenant on a le cancer ! On aurait mieux fait de rester avec la peste, vu qu'on savait la soigner.

Ne remettez jamais à demain ce que vous pouvez faire après-demain tout aussi bien.

Rien n'est plus singulier que de regarder le monde là haut. D'observer ceux que j'ai laissé derrière moi. Chacun à sa façon est courageux, déterminé, et tellement désespéré... Désespéré parce qu'on veut tout avoir, même quand on ne sait pas [...] ► Lire la suite

Malheureusement, il y a des moments où la violence est la seule façon dont on puisse assurer la justice sociale.

Il existe de nombreuses façons d'aller de l'avant, mais une seule façon de rester immobile.

Les juges sont eux-mêmes exposés à tous les déséquilibres... Soumis au pouvoir exécutif, ils réduiraient la justice à être une auxiliaire de la police ; dressés contre lui ; ils transformeraient la séparation des pouvoirs en conflit des pouvoirs...

Il faut attendre la mort pour bien juger la vie.

Il arrive toujours un moment où l'on doit montrer ses faiblesses. Quand nos secrets ne peuvent plus rester privés. Quand notre solitude ne peut plus être niée. Quand notre douleur ne peut plus être ignorée. Mais parfois, on se sent [...] ► Lire la suite

Il n'y a ni justice ni liberté possibles lorsque l'argent est toujours roi.

Les talibans n'ont pas lu le Coran, car en Islam, c'est un droit pour chaque fille et chaque garçon d'avoir accès à l'éducation.

Si on ne peut pas faire ce qu'on veut chez les autres, il n'y a qu'à rester chez soi.

On devrait essayer les femmes comme les chaussures. Si cela va, on les garde. Si elles vous cassent les pieds, on les rend le lendemain matin.

Il est un droit supérieur à tous les autres, c'est le droit de vivre d'une collectivité nationale. Pour défendre l'existence de la nation, s'il avait fallu aller jusqu'à l'illégalité, je n'aurais pas hésité.

Je ne crois pas que la justice règne jamais parce que l'injustice n'est pas dans les lois, elle est en chacun de nous.

Les princes nés dans des palais peuvent-ils ressentir la misère de ceux qui habitent dans des chalets ?

L'écrivain est un homme privilégié à qui on donne le droit de traverser les barrières entre les classes sociales aussi bien que les frontières entre les pays.

Lorsque vous ressentez le désir de pouvoir, vous devez rester dans la solitude pendant un certain temps.

Si les hommes pouvaient attendre un enfant, l'avortement serait un sacrement.

Prends garde au lendemain du succès !

J'adore quand on me dit que la décision m'appartiens.

La justice c'est ce ciment si solide qu'il laisse passer l'eau.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les promoteurs de la construction européenne avaient comme objectif avoué de créer dans une Europe ravagée par deux guerres civiles sanglantes au cours du XXe siècle les conditions d'une paix durable.

Si tu fais demain ce que tu as fait aujourd'hui, tu auras demain ce que tu as aujourd'hui.

Pourquoi attendre que l'instant soit souvenir pour l'apprécier ?

Tout est fait en réalité pour substituer à la décision populaire la gestion des choses, la souveraineté des marchés financiers, l'autorité des "experts" et le gouvernement des juges. Les citoyens n'ayant plus les moyens de demander des comptes à leurs [...] ► Lire la suite

Je dois rester seul et savoir que je suis seul pour contempler et ressentir pleinement la nature ; Je dois m'abandonner à ce qui m'entoure, je dois me confondre avec mes nuages ​​et mes rochers pour être ce que je suis.

L'amour, le grand amour, n'a parfois rien à voir avec la justice ; l'amour doit souvent se montrer cruel.

Quand j'étais tout enfant, le sort d'aucun personnage de l'histoire sainte ne me semblait aussi misérable que celui de Noé, à cause du déluge qui le tint enfermé dans l'arche pendant quarante jours. Plus tard, je fus souvent malade, et [...] ► Lire la suite

La vie c'est un arbre que la tempête secoue. Il faut tenir serrées entre ses mains les branches, il faut vouloir rester accroché jusqu'à ce que le vent, l'orage, se calment.